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Les juges tremblaient au seul mouvement de son doigt. Le voleurs, les policemen étaient suspendus, avec un ravissement mêlé de crainte,

Assez!... interrompit M. Segmuller, je ne veux plus entendre parler de cette affaire. Je vous avais, ce me semble, défendu de me la rappeler... Le jeune policier baissa la tête d'un petit air de soumission hypocrite. Mais il guignait le juge du coin de l'œil, et remarquait bien son agitation. Je puis me taire, pensait-il, sans crainte; il y reviendra. Il y revint, en effet, l'instant d'après.

Vendredi 30 août. Déjeuner chez les Brisson, l'aimable et charmante fille de Sarcey, ayant témoigné le désir de m'avoir avec les Daudet: déjeuner, toutefois, je me rends avec une certaine crainte de rencontrer Sarcey, après les choses désagréables, que nous nous sommes dites réciproquement.

Au milieu de ces alternatives de crainte et d'espoir, au milieu de ces dilatations et de ces serrements de coeur, dix heures sonnèrent

Et elle reparlait souvent des Tulettes, avec une peur sourde de la folie. L'abbé Faujas sentit ainsi un étrange effarement, au fond de cette maison si paisible. Marthe aimait certainement son mari d'une bonne amitié; seulement, il entrait dans son affection une crainte des plaisanteries de Mouret, de ses taquineries continuelles. Elle était aussi blessée de son égoïsme, de l'abandon il la laissait; elle lui gardait une vague rancune de la paix qu'il avait faite autour d'elle, de ce bonheur dont elle se disait heureuse. Quand elle parlait de son mari, elle répétait: Il est très-bon pour nous.... Vous devez l'entendre crier quelquefois; c'est qu'il aime l'ordre en toutes choses, voyez-vous, jusqu'

Dès longtemps une crainte s'était éveillée en elle. Je la voyais pâlir. Mais cela ne m'inspirait aucune pitié. Je me disais: Voil

Mais j'étais sur des charbons ardents et n'osais l'interrompre, crainte de blesser sa susceptibilité indienne. Quelles angoisses néanmoins ne ressentais-je pas

La rencontre d'un corps de troupes nous permit de franchir le défilé sans crainte, et nous atteignîmes Amozoc sans accident.

Et l'un et l'autre t'est échappé. Est-ce toi, Mirrha, qui parles ainsi? Je parle de l'amour populaire, amour égoïste, qui témoigne toujours que les hommes sont gouvernés par la crainte et par les lois, sans pourtant être opprimés; du moins ne le supposent-ils pas. Ou, s'ils l'imaginent, ils le jugent nécessaire pour les préserver d'une tyrannie plus cruelle, celle de leurs passions.

Je me figure un homme actif, éclairé, libre, aisé, plein de désirs. Il est trop pauvre pour pouvoir vivre dans l'oisiveté; il est assez riche pour se sentir au-dessus de la crainte immédiate du besoin, et il songe