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Mis à jour: 20 juin 2025


Tu étais beau comme le rayon du matin, et riche comme l'orgueil des mines précieuses: tous tes charmes sont maintenant fanés; et haï et méprisé, les malédictions de la liberté retombent sur toi. Car la corruption s'est repue sur tes feuilles, et la bigotterie a rongé ta tige; maintenant ceux qui te craignaient se rient de tes malheurs, et ceux qui t'adoraient te condamnent

Tout de suite après m'avoir reçue, Sa Majesté témoigna l'intention de me faire passer l'été dans cette belle campagne. Elle commanda aux maréchaux-des-logis (dont l'un était le vieux prince Bariatinski) de me donner un appartement dans le château, désirant m'avoir près d'elle afin de me voir peindre. Mais j'ai su depuis que ces Messieurs ne se soucièrent nullement de me placer aussi près de l'impératrice; et malgré ses ordres réitérés, ils soutinrent toujours qu'ils n'avaient aucun logement disponible. Ce qui me surprit au dernier point, lorsqu'on m'instruisit de ce détail, c'est qu'on me dit que ces courtisans, me croyant du parti du comte d'Artois, craignaient que je ne fusse venue pour faire remplacer M. d'Esterhazy par un autre ambassadeur. Il est vraisemblable que M. d'Esterhazy s'entendait de tout cela avec eux; mais certes, il fallait bien peu me connaître pour ne pas savoir que j'étais trop occupée de mon art pour pouvoir donner du temps

«C'est-dans cet instant que s'est dévoilée la méchanceté des ennemis du continent; Ils craignaient encore la manifestation de mon violent amour pour la paix; ils craignaient que l'Autriche,

M. Le Maître, pensant au danger des Français plutôt qu'au sien propre, résolut de disputer le passage aux Iroquois pour donner le temps aux colons de prendre leurs armes. Dans ce but il s'arma d'un couteau, dont il se couvrait comme d'un espadon, et se jeta entre les Iroquois et les travailleurs, en leur criant d'avoir bon courage et de prendre leurs armes pour défendre leur vie. Les Iroquois, voyant que ce prêtre leur barrait le chemin et les empêchait ainsi de tuer les Français, en conçurent un grand dépit. Ils ne craignaient pas d'être blessés par M. Le Maître, mais ils étaient curieux contre lui parce qu'ils ne pouvaient l'approcher pour le prendre vivant et surtout parce qu'il avait averti les travailleurs et leur donnait le temps de se rendre en bon ordre

Dès que le jour reparaît, tous les nobles restés dans la ville, les Imperiali, les Mari, les Squarciafichi, descendent sur les places de leurs palais, y arborent leurs drapeaux et se montrent en armes pour imposer au peuple ou pour en détacher leurs partisans. Ce fut un jour d'incertitude et de tumulte, mais on s'observa sans s'attaquer. Le lendemain matin, la troupe soldée se retira, et aussitôt il fut convenu que les émigrés feraient leur rentrée le même jour. Mais le mécontentement du peuple contre eux voulait être ménagé, et, après tout, les nobles de l'intérieur craignaient de se mettre

L'inconnue ne s'était pas tuée en tombant, comme le craignaient nos amis; mais elle était restée au bas de la croisée, baignant dans son sang. Quel malheur! quel malheur affreux! que feront nos voyageurs! Ils prennent leur parti: Valentin, qui peut être plus adroit que Victor

Des femmes ne craignaient pas d'entretenir des correspondances avec le Temple, de pousser aux plans de salut de la famille royale, d'accueillir chez elles,

Comment eût-il pu s'entendre avec ces parlementaires, ces avocats, ces bourgeois, et ces évêques demi-chrétiens qui craignaient, au fond, de passer pour des cléricaux! Un moment, il se rencontre avec eux pour revendiquer la liberté de l'enseignement; mais il est vite dégoûté par leurs concessions et leurs habiletés de politiques. Il demandait, lui, tout ou rien. Après le coup d'

Cette belle maîtresse du roi de France, cependant, était loin en son temps d'être l'idole de la foule: ses titres, son luxe, son ambition offusquaient les bourgeois. Elle fut marquise d'abord, puis duchesse; ils craignaient de la voir un jour assise sur le trône. Ils lui faisaient un crime de son esprit, de sa beauté même, beauté damnable!

Mlle de La Chastaigneraye était jalouse de toutes les femmes mais elle était surtout jalouse de Violette. M. de Parisis et Mlle de La Chastaigneraye ne s'étaient guère parlé de l'empoisonnement du bouquet de roses: le nom de Mme de Portien, comme le nom de Violette, s'arrêtait sur leurs lèvres. Ils craignaient tous les deux d'accuser la vraie coupable. Craignaient-ils de défendre Violette?

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