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Mis à jour: 15 octobre 2025


Cependant, le courtier de Smyrne, après avoir préalablement consulté deux ou trois de ses collègues, lança une nouvelle enchère de deux mille sept cents livres. «Deux mille sept cents livres, répéta le crieur. Trois mille

On avait fini, on se leva. Baudu et Colomban allèrent causer avec un courtier, qui venait prendre des ordres. Mme Baudu emmena Pépé, pour lui montrer des images. La bonne, vivement, avait desservi, et Denise s'oubliait près de la fenêtre, intéressée par la petite cour, lorsque, en se retournant, elle aperçut Geneviève, toujours

«Mais, l'année suivante, nous le trouvons en relations avec un marchand d'hommes dont il était en quelque sorte le courtier. Bientôt, l'idée lui vint de se vendre lui-même, tourmenté qu'il est d'un désir furieux de posséder quinze cents francs

Et moi je suis très-heureux d'avoir si bien placé mes bienfaits, dit Rodolphe en continuant sa lecture: «Du reste, au moyen de l'argent que vous lui avez fait donner, monsieur Rodolphe, Morel est maintenant courtier en pierres fines; il gagne de quoi bien élever sa famille et faire apprendre un état

Je ne perdis pas un instant. J'allai trouver un vieil armateur, ami de mon père, et qui était aussi courtier de navires. Il m'était très dévoué et se chargea d'aller arrêter notre passage sur la Diane, pour moi, mon mari et nos deux enfants. J'aurais voulu emmener ma bonne Marguerite. Mais elle avait une fièvre double tierce depuis six mois déj

Vous souvenez-vous du temps les navires nous amenaient ici les prisonniers par milliers et non par centaines! Oui!... comme cela s'est fait après les massacres de Scio! répondit un autre courtier. D'un seul coup, plus de quarante mille esclaves! Les pontons ne pouvaient suffire

Je le connais de longue date, ce courtier en méchantes besognes. Rien de bon ne saurait émaner de sa personnalité louche. Sir Murphy serait-il sa dupe? Ne serait-il pas plutôt son complice?...

C'était la fille d'un courtier de commerce de Bordeaux. Elle se nommait Flavie Soyer. Elle avait bientôt quinze ans. Elle s'était enfuie de la maison paternelle toute seule pour venir

À Turin, la bourgeoisie se voit peu entre elle; chacun vit beaucoup chez soi et en famille, l'hiver en ville et l'été dans de charmantes habitations que l'on nomme des Vignes, disséminées sur toute la colline au milieu des bois et des jardins. Les banquiers de Turin n'étalent aucun luxe; ils font leurs affaires dans des bureaux beaucoup moins élégans que l'antichambre d'un courtier de Paris, n'ont ni morgue ni brillans équipages, et reçoivent fort poliment les étrangers que leurs correspondans leur adressent; c'est bien bourgeois, mais aussi, pendant plusieurs années, n'ai-je pas vu une seule banqueroute un peu importante

Il y a le courtier en librairie, le plus mal vêtu de tous, qui place les ouvrages en souscription; il vend les livres qui ne se vendent plus, la collection de l'Observateur religieux, les cent vingt volumes de l'Encyclopédie des cuisiniers, et fait les abonnements au Moniteur des sages-femmes. Il propose encore les ouvrages

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descalzas

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