Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 juin 2025
Au point du jour, je m'avançais pour juger de l'abaissement des eaux; car j'avais envie de continuer ma route. Vos courriers furent tous, comme moi, désappointés; et voyant qu'il ne faut pas songer
Ainsi, Paris le distrait de Pétersbourg. Ses affaires encore amoncelées, et les courriers qui, dans les premiers jours, se succèdent sans interruption, l'aident
Le moment de l’exécution générale était combiné pour le jour où tous les courriers auraient eu le temps de se rendre
C'est l'affaire de trois courriers; en dix minutes, Lachapelle-Marteau, Brigard et Bussy-Leclerc sont prévenus; ceux-l
Je viens de feuilleter les Français de la décadence, un recueil de ses «courriers de Paris», fantaisies éphémères sur la vie boulevardière, le monde, ses manies, ses caprices, le théâtre, ses étoiles, ses coulisses... On les relit sans ennui. Et déj
Enfin, le 30 novembre, nos personnages, pleins d'espoir et de joie, rentrèrent au manoir de Briantes. On avait reçu de bonnes nouvelles de M. de Beuvre. Il avait écrit bien des fois; mais ses courriers avaient été interceptés ou infidèles. Il allait arriver; il arriva, en effet. On lui fit de grandes fêtes; après quoi, on parla de se séparer.
Sa Majesté avait eu le soin de prévenir au palais Farnèse qu'on lui envoyât, au théâtre Argentina, les courriers qui pourraient lui arriver de la part du général Mack, et le régisseur du théâtre, prévenu de son côté, se tenait prêt, en grand costume,
L'expérience de toutes les époques prouve que les produits de poste augmentent toujours en proportion des facilités que l'on donne au public pour sa correspondance. Que ces facilités lui viennent, soit d'une plus grande fréquence d'ordinaires, soit d'une accélération nouvelle dans la marche des courriers, il y a toujours ou presque toujours augmentation immédiate dans les produits.
Ce sont des lettres un peu apprêtées, des lettres soignées, avec pas mal de ratures. Souvenez-vous qu'alors une lettre était quelque chose de bien plus important qu'aujourd'hui. Les courriers étaient dix fois, trente fois, cent fois plus rares. Ajoutez que c'était le destinataire qui payait le port, quelquefois assez élevé (20 sols, 30 sols). On voulait lui en donner pour son argent. On ne pouvait guère lui écrire des billets de trois lignes. Puis, comme il n'y avait guère de journaux, si ce n'est,
L'AMBASSADEUR. Trente courriers ne tireront pas au clair ce qui se fera dans trois jours d'entrevue, et l'on ne finirait pas en deux ans ce qui se fera en dix jours. Il y a tant de choses scabreuses dans cette grande affaire, que des souverains seuls peuvent s'entendre. Le comte Roumiantsof a les bras un peu longs.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche