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Mis à jour: 22 octobre 2025


Mes dispositions prises, mon lest sous la main, je saisis la corde de la soupape et j'ouvris: l'aérostat descendit rapidement. A 80 mètres du sol, j'arrêtai sa descente, coupai le guide rope (longue corde destinée

C'est donc pour cela, reprit Néanmoins, qu'il y en a tant dans nos grandes Assemblées. Je lui coupai la parole. Néanmoins, mon ami, tu vas blasphémer contre les dieux! Alors on revint

J'y consens, dit le vieillard, puisque la morale qu'elle renferme peut vous être utile, et il commença ainsi son récit: À vingt ans j'étais un cloaque de tous les vices réunis: querelleur, batailleur, ivrogne, débauché, jureur et blasphémateur infâme. Mon père, après avoir tout tenté pour me corriger, me maudit, et mourut ensuite de chagrin. Me trouvant sans ressources, après avoir dissipé mon patrimoine, je fus trop heureux de trouver du service comme simple engagé de la compagnie de Labrador. C'était au printemps de l'année 17 , il pouvait être environ midi, nous descendions dans la goélette La Catherine, par une jolie brise; j'étais assis sur la lisse du gaillard d'arrière, lorsque le capitaine assembla l'équipage et lui dit: ah ça, enfants, nous serons, sur les quatre heures, au poste du diable; qui est celui d'entre vous qui y restera? Tous les regards se tournèrent vers moi, et tous s'écrièrent unanimement: ce sera Rodrigue Bras-de-fer. Je vis que c'était concerté; je serrai les dents avec tant de force que je coupai en deux le manche d'acier de mon calumet, et frappant avec force sur la lisse j'étais assis, je répondis dans un accès de rage: oui, mes mille tonnerres, oui, ce sera moi; car vous seriez trop lâches pour en faire autant; je ne crains ni Dieu, ni diable, et quand Satan y viendrait je n'en aurais pas peur. Bravo! s'écrièrent-ils tous. Huzza! pour Rodrigue. Je voulus rire

Puis, je ressentis une faim terrible qui me torturait l'estomac. Les vivres étaient épuisés. Je ne trouvai rien dans les maisons que je fouillai. Affolé et titubant, je me jetai sur un cadavre et lui dévorai la face. La chair était encore tiède. Je me rassasiai sans aucun remords. Puis je me promenai dans la nécropole en songeant aux moyens d'en sortir. Je m'armai, me couvris soigneusement, me chargeai du plus d'or que je pus emporter. Ensuite, je m'inquiétai de la nourriture. Le corps des femmes est plus grasset, leur chair est plus tendre. J'en cherchai un et lui coupai les deux jambes. Ce travail me prit plus de deux heures. Mais je me trouvai

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calderon

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