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Mis à jour: 8 juin 2025
Pendant cette première journée de navigation, la mer fut assez houleuse, et le vent fraîchit vers le soir; le Duncan était fort secoué; aussi les dames ne parurent-elles pas sur la dunette; elles restèrent couchées dans leurs cabines, et firent bien.
Le châtiment continua et s'acheva au milieu du silence. Les femmes, épuisées, ne criaient plus; quelques-unes s'étaient couchées la face contre terre dans un désespoir sans paroles et sans larmes. Les patients étaient les uns évanouis, les autres indifférents
La petite bonne femme chargea sa boîte et prit dans un coin du coffre ce qu'il fallait de fraîches pommes d'api, bien couchées dans des rognures de papier blanc, pour emplir son panier.
Dans ces guirlandes, cette floraison merveilleuse, quelques dalles debout ou couchées, avec des dates, des noms, celui-ci tout neuf incrusté sur la pierre: «Boris de Wassilief, 22 ans.
Passy n'a pas souffert, c'est au boulevard Montmorency que commencent les ruines: les maisons dont il ne reste que les quatre murs noircis; les maisons effondrées et couchées
Partout la détresse; les belles moissons de blé sont tellement couchées, que je doute qu'elles se relèvent jamais, d'autres champs sont si inondés, qu'on ne sait, en les regardant, si l'eau ne les a pas toujours occupés. Les fossés, rapidement comblés par la boue, avaient débordé sur la route et porté du sable et du limon au travers des récoltes.
Et c'est gai, pur, un peu triste aussi comme quand on regarde l'étendue des campagnes, ou la mer, ou le ciel. Les choses ont une manière si solennelle de se coucher dans la brume, une telle attitude d'éternité quand elles sont couchées que nous devenons graves, tout au moins,
Mais M. Dessoucazeaux, moins hasardeux, ne leur donnait, dans son Vade mecum Cassitéride, que le nom de Pierres Couchées. Il n'en était pas moins que ce bosquet, où le toit spacieux des chênes étouffait toute autre verdure comme aussi l'éclat du soleil, et les bruits même d'alentour, inspirait une espèce de religion aux paysans béarnais, pour si peu qu'ils soient crédules au mystère.
La ville voisine de Gorna-Oréchovitza a été également très éprouvée. A lui seul, l'effondrement du lycée de jeunes filles a fait près de soixante victimes, dont dix-huit furent tuées sur le coup. Et c'est un sentiment de profonde pitié que provoque le spectacle de ces petites mortes couchées en leurs cercueils fleuris, auprès desquels les parents agenouillés viennent une dernière fois pleurer.
Rapprochées par la communauté de leur malheur et par l'identité de leur sort, patriciennes et plébéiennes vivaient entre elles fraternellement. Les premières oubliaient leur éducation, leurs origines pour relever le moral de leurs compagnes par la parole et par l'exemple. Celles-ci, en retour, se prodiguaient pour leur rendre les mille soins auxquels étaient accoutumées les femmes de la noblesse et que le régime de la prison leur refusait. Monotone était leur existence, mais non sans charme, car, sauf la privation de la liberté et la perspective de la guillotine, leur sort ne comportait pas de trop cruelles rigueurs. Mal nourries, mal couchées, entassées dans des pièces trop étroites, exposées sans cesse
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