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Mis à jour: 24 juin 2025
Ah! monsieur le marquis, répondit la costumière, qui ne se fâcha point des petites libertés que le gentilhomme prenait avec elle, vous m'avez dit cela souvent,
Babet suivit ainsi Réjane jusque dans le boudoir. Ici vous pouvez parler, dit la pauvre enfant. Que me voulez-vous? C'est un paquet que j'apporte. Un paquet? Oui, pour madame de Vilers. Ah! fit Réjane désappointée. Et qu'y a-t-il dans ce paquet? Un coffret. Voici l'histoire. Je vous ai dit que j'étais la servante de mame Toinon, la costumière, qui est partie en me laissant la garde de la maison.
Tout ce que mame Toinon en put tirer, c'est que des hommes masqués avaient voulu le tuer. La costumière prit l'enfant chez elle et l'adopta.
Depuis le départ du régiment, la jolie costumière ne vivait plus... Elle pensait
Ou en faune, je ne suis pas encore bien fixé. Je viens donc vous prier, ma chère Toinon, de m'envoyer, le plus tôt possible, plusieurs costumes complets de bergères. Ces dames choisiront. La costumière regarda Tony. Tony se tenait immobile dans le coin le plus obscur de la boutique depuis l'entrée du marquis. Mon mignon, lui dit mame Toinon, tu iras chez M. le marquis.
Mais il est arrivé quelque chose... c'est impossible autrement!... Soudain la costumière jeta un cri: Ah! mon Dieu! dit-elle, tu as du sang sur les mains. Alors Tony fut obligé de raconter
Puis elle prit un sac de cuir qui était serré dans un des coins du bahut. Ce sac renfermait trente pistoles, fruit des épargnes de la costumière. Tiens, mon enfant, ajouta-t-elle, prends encore cela... Il voulut refuser, mais elle lui ferma la bouche d'un mot: N'es-tu pas mon fils? dit-elle.
Il n'osait supporter les regards de la jolie costumière dont la pensée lui pesait comme un remords. Il se l'avouait bien maintenant, ce n'était que dans l'explosion de ses dix-huit ans, qu'il avait eu pour elle une folie passagère. Tout son amour, son véritable amour était pour Bavette qu'il avait pu oublier, dans la fougue de la passion, mais qu'il n'avait jamais cessé d'aimer.
On juge si les voisins étaient accourus, attirés un peu par sympathie et beaucoup par curiosité, s'enquérir des événements curieux qui avaient dû se passer dans le lointain voyage de la costumière. Mais leur attente avait été déçue. Toinon, en effet, n'était plus la joyeuse et gaillarde et bavarde personne que nous avons présentée au début de notre récit.
Mais, au bout d'une demi-heure, après avoir dansé et valsé, la costumière se prit
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