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Mis à jour: 21 juin 2025
Mes opinions en 1814. Dispositions du parti royaliste. Arrivée du premier officier russe. Message du comte de Nesselrode. Prise de la cocarde blanche. Aspect du boulevard. Entrée des Alliés. Dîner chez moi. Déclaration des Alliés. Conseil chez le prince de Talleyrand. Le marquis de Vérac. Réunion chez monsieur de Morfontaine. Attitude des officiers russes. Bivouac des cosaques aux Champs-
Le 20, le prince d'Eckmühl s'est porté sur Mohilow. Deux mille hommes, qui formaient la garnison de cette ville, ont eu la témérité de vouloir se défendre; ils ont été écharpés par la cavalerie légère. Le 21, trois mille cosaques ont attaqué les avant-postes du prince d'Eckmühl; c'était l'avant-garde du prince Bagration, venue de Bobruisk. Un bataillon du quatre-vingt-cinquième a arrêté cette nuée de cavalerie légère, et l'a repoussée au loin. Bagration parait avoir profité du peu d'activité avec laquelle il était poursuivi, pour se porter sur Bobruisk, et de l
A deux heures après midi, la division de cavalerie du comte Bruyères, ayant chassé les cosaques et la cavalerie ennemie, occupa le plateau qui se rapproche le plus du pont en amont. Une batterie de soixante pièces d'artillerie fut établie sur ce plateau, et tira
Le malheur voulut que celui de ces officiers qui allait au corps du maréchal Bernadotte fût un jeune homme sans expérience, qui, sans prendre aucun renseignement en chemin, se dirigea sur le lieu qu'on lui avait indiqué; il alla, de cette manière, se faire prendre par les cosaques, sans avoir détruit sa dépêche, qui fut portée au général en chef de l'armée russe.
Lorsque nous entrâmes dans la plaine, nous vîmes l'Empereur presque au milieu des Cosaques, entouré des généraux et de ses officiers d'ordonnance, dont un venait d'être dangereusement blessé, par une fatale méprise: au moment où les escadrons entraient dans la plaine, plusieurs de ses officiers avaient été obligés, pour se défendre, et pour défendre l'Empereur, qui était au milieu d'eux et qui avait failli être pris, de faire le coup de sabre avec les Cosaques. Un des officiers d'ordonnance, après avoir tué un Cosaque et en avoir blessé plusieurs autres, perdit, dans la mêlée, son chapeau, et laissa tomber son sabre. Se trouvant sans armes, il courut sur un Cosaque, lui arracha sa lance et se défendit avec. Dans ce moment, il fut aperçu par un grenadier
À la vue des cosaques postés sur la rive opposée, et des steppes qui s'étendaient
Le timbalier tira de sa poche ses baguettes qu'il avait prises avec lui, sachant bien comment finissaient d'habitude de pareilles aventures. Les timbales résonnèrent, et bientôt des masses noires de Cosaques se précipitèrent sur la place, pressés comme des frelons dans une ruche. Tous se mirent en rond, et après le troisième roulement des timbales, se montrèrent enfin les chefs,
Quand ils se furent tous divisés et rangés sur deux files, par kourèn, le kochévoï passa entre les rangs, et dit: Eh bien! seigneurs frères, chaque moitié est-elle contente de l'autre? Tous sont contents, père, répondirent les Cosaques.
Il n'y avait pas cinq minutes que je m'y trouvais, quand je vois les Cosaques mettre pied
Vers une heure le rivage était nettoyé de Cosaques, et le pont pour l'infanterie achevé; la division Legrand le traversait rapidement avec ses canons, aux cris de «vive l'empereur!» et devant ce souverain, qui aidait lui-même au passage de l'artillerie, en encourageant ces braves soldats de sa voix et de son exemple.
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