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Mis à jour: 26 mai 2025
Une séance des Cortès. Les orateurs espagnols. Argüelles et Calliano. Départ du roi Ferdinand pour Séville.
Les Phocéens le font sortir de Delphes, Alexandre de Persépolis; Rome le tire des mains du dernier successeur d'Alexandre; Cortès l'enlève de l'Amérique.
«La foule court chez les opposants, dans le dessein de les massacrer; Morillo dissipe la foule, et la première législature des Cortès finit. Cette terre de misère avait pourtant été foulée par Annibal; elle avait vu la pudique aventure de Scipion et donné naissance
Les études de MM. Cramer et del Corral, et celles qui eurent lieu après eux, laissèrent donc l'isthme de Tehuantepec en excellente renommée. Quand furent terminées les guerres de la révolution française, en 1814, les cortès espagnoles, sur la proposition d'un député mexicain, don Lucas Alaman, qu'on a vu depuis ministre des affaires étrangères
Les Cortès furent en effet convoquées pour le 14 septembre suivant.
Toute la session des Cortès ne fut, dans la chambre des procuradores (les députés) que le développement de cette guerre; elle éclata surtout
Le traité de Valençay fut signé le 11 décembre 1813. L'intégrité de l'Espagne était promise. Les troupes françaises devaient évacuer le pays, les armées espagnoles et anglaises ne pas dépasser les Pyrénées. Enfin Ferdinand avait admis en principe l'idée d'un mariage avec la fille du roi Joseph. Le traité fut porté par le duc de San Carlos aux cortès, et Ferdinand quitta Valençay le 3 mars.
Les circonstances étaient graves: toutes les villes de métiers, Liége, Ypres, Namur, n'attendaient qu'un signal pour arborer l'étendard de la rébellion et suivre l'exemple de Gand, et au même instant les cortès de Castille faisaient retentir aux oreilles de l'empereur un langage séditieux; les cortès réclamaient le rétablissement des franchises et des privilèges de la noblesse.
Entre deux récits si contraires, où était la vérité? Aujourd'hui même, vingt-trois ans après l'événement, des hommes bien instruits et impartiaux ont des doutes sur la scène du 28 novembre 1843 entre M. Olozaga et la jeune reine, et soupçonnent quelque exagération dans les détails qui s'en répandirent le lendemain. Quoi qu'il en soit, deux faits restent certains: d'abord le décret de dissolution des Cortès inopinément présenté
Le bâtiment où se tiennent les cortès est entremêlé de colonnes pæstumniennes et de lions en perruque d'un goût fort abominable: je doute qu'on puisse faire de bonnes lois dans une architecture pareille. En face de la chambre des cortès s'élève au milieu de la place une statue en bronze de Miguel Cervantes; il est louable sans doute d'élever une statue
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