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Mis à jour: 7 juin 2025
Quand elle fut terminée, Corcoran dit: «Mettez-lui les fers aux pieds et aux mains. Jetez-le dans le premier cachot venu. Pour le reste, qu'il attende. Que faut-il faire du messager? demanda Sougriva. C'est toi qui es ce fameux Baber dont il parle? demanda Corcoran. Eh bien oui, seigneur, répondit effrontément le prisonnier, je suis Baber.
A ce spectacle, Corcoran, qui commandait le bataillon de brèche, ne put s'empêcher de rire, et les soldats d'Holkar, qui n'avaient fait presque aucune perte, se sentirent ranimés et pleins de courage.
Seigneur Corcoran, dit Sita, il n'y a pas de trésor qui puisse payer une telle amitié. Mais je l'accepte en échange de la mienne.»
Seigneur, dit Ali, c'est pour vous en avertir que je suis venu ici sans y être appelé. Quand le capitaine Corcoran a mis pied
La Frégate s'abattit aussitôt. Quaterquem jeta l'ancre dans un palmier gigantesque, et Corcoran descendit avec une échelle de cordes jusqu'
Garamagrif lâcha aussitôt son adversaire, et, poussant un rugissement, il regarda Corcoran avec des yeux pleins de fureur, comme s'il avait voulu le dévorer. Mais le maharajah le regarda
Aussitôt Corcoran commença sa toilette, qui fut assez sommaire, comme on pense, car il veillait toujours sur les Anglais, de peur de surprise. Mais ses craintes étaient vaines. Personne n'essaya de l'attaquer par trahison. Enfin ses préparatifs étaient terminés. Il regarda sa montre, le délai fixé expirait. Il voulut du moins, avant de mourir, dire un dernier adieu
Baber, dit Corcoran, attache-leur les pieds et les mains, jette-les dans l'intérieur de la voiture, et tourne la bride des chevaux vers le camp. C'est le conseil de guerre qui décidera de leur sort.» Baber obéit, sans qu'aucun des deux misérables osât lui résister. La vue de Corcoran et de Louison leur glaçait le sang dans les veines.
«Ma foi, pensa-t-il, il vaut mieux qu'elle soupe d'un Anglais que de ne pas souper du tout ou de souper de mon malheureux ami Sougriva.» Sur cette pensée, il appela l'Indou. «As-tu faim? demanda Corcoran. Oh! oui. As-tu des vivres? Non. Veux-tu souper?» Sougriva le regarda comme s'il ne comprenait pas. «Oui, j'entends bien, dit Corcoran. Tu demandes où est le souper. Eh bien, regarde.»
«Tirez! tirez donc!» criait la foule épouvantée. Mais l'officier fit désarmer les fusils. Pour atteindre le tigre, on aurait tué ou blessé cinquante personnes. On se contenta donc de suivre Corcoran et Louison jusqu'au port, où ils s'embarquèrent paisiblement, suivant la promesse du capitaine.
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