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Mis à jour: 21 mai 2025
Durant qu'il était vivant et que j'étais fort jeune, j'ai un peu connu M. Guillaume Pauthier, qui savait le chinois mieux que le français. Il y avait gagné, je ne sais comment, de petits yeux obliques et des moustaches de Tartare. Je lui ai entendu dire que Confucius était un bien plus grand philosophe que Platon; mais je ne l'ai pas cru.
Aussi Confucius devint-il promptement l'oracle vivant de tous les royaumes confédérés de la Chine visités par lui et par ses disciples. Et cela simplement parce qu'il était l'homme de plus de bon sens qu'il y eût dans l'empire et dans le siècle, la raison vivante et enseignante. Il n'éprouva non plus ni persécution ni rivalité, ni exil, ni martyre, et cela aussi par une raison toute simple, c'est qu'il n'annonçait aucune nouveauté de nature
De leur côté, les empereurs répondaient par des exhortations, composaient des hymnes, des chants de guerre, des élégies. Un grand nombre de ces poèmes primitifs ont été rassemblés et sauvés de l'oubli par Confucius, qui les a classés et en a formé le recueil si célèbre, intitulé «Le Che-King livre des vers.»
L'apparition de Confucius est un événement gigantesque dans l'histoire de la civilisation chinoise. Ce grand moraliste, qui professait une doctrine essentiellement utilitaire, c'est-
C'est pendant cette longue mission toute philosophique que Confucius prêcha et rédigea ce code d'histoire, de politique et de morale qui fit de son oeuvre le livre sacré de son temps.
La raison, la loi, la littérature de ce peuple immense sont encore pour des siècles la personnification prolongée de Confucius. Sachez Confucius, vous savez la Chine. Reprenons donc son histoire et ses oeuvres.
Explique qui pourra ce phénomène, mais ce phénomène est un fait irréfutable. Nous avons lu souvent et attentivement tout ce qui a été écrit sur ce livre sacré des Kings et une partie de ce que leur commentateur Confucius en a extrait; il est impossible d'y méconnaître l'empreinte d'une vétusté de civilisation, de sagesse morale et d'industrie humaine qui reporte la pensée au del
Confucius, dit M. Bergeret, était un homme bien raisonnable. Son disciple, Ki-Lou, demandant un jour comment il fallait servir les Esprits et les Génies, le maître répondit: «Quand l'homme n'est pas encore en état de servir l'humanité, comment pourrait-il servir les Esprits et les Génies?
Est-ce dans les idées? Nous ne pensons pas plus creux que Job; nous ne rêvons pas plus grand que Platon; nous ne chantons pas plus divinement qu'Homère; nous ne parlons pas plus éloquemment que Cicéron; nous ne moralisons pas plus raisonnablement que Confucius; nous ne résumons pas notre sagesse en proverbes plus substantiels que Salomon. Est-ce dans les passions?
Permettez-moi, ajouta le disciple, de vous demander ce que c'est que la mort.» Et Confucius répondit: «Lorsqu'on ne sait pas ce que c'est que la vie, comment pourrait-on connaître la mort?»
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