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Mis à jour: 6 mai 2025


Ce qui caractérise la poésie du XVIIIe siècle, c'est l'esprit d'imitation. Ce siècle est romain par l'imitation. Il imite avec fureur, avec grâce, avec tendresse, avec ironie, avec bêtise; il imite avec conscience; il est chinois en même temps que romain. Il y a des modèles. Le mot est impératif. Il ne s'agit pas qu'un poète dise l'impression que lui fait la vie: il faut qu'il regarde Racine et qu'il escalade la montagne. Singulière psychologie! Le même philosophe qui ruine en politique l'idée de respect, la recrépit et la rebadigeonne en littérature. Il y a des critiques: pendant que Goethe écrit Werther, ils confrontent Gilbert avec Boileau. C'est un avilissement. Faut-il lui chercher une cause? Cela serait vain. Vouloir expliquer pourquoi il ne naquit aucun poète en France, que Delille ou Chénier, pendant cent ans, cela conduirait nécessairement

Quel Zorobabel formidable, Quel Dédale vertigineux, Cieux! a bâti dans l'insondable Tout ce noir chaos lumineux? Soleils, astres aux larges queues, Gouffres! ô millions de lieues! Sombres architectures bleues! Quel bras a fait, créé, produit Ces tours d'or que nuls yeux ne comptent, Ces firmaments qui se confrontent, Ces Babels d'étoiles qui montent Dans ces Babylones de nuit?

Fantine était belle, sans trop le savoir. Les rares songeurs, prêtres mystérieux du beau, qui confrontent silencieusement toute chose

Tandis que leurs valets de chambre, lourds encore de sommeil, agitent sans but un désordre de sacs et de couvertures, nos voyageurs se confrontent. Ils ont des yeux trop noirs dans des visages trop blancs, et cet air de gêne et de froid que laisse une toilette bâclée, une toilette «sur le linge».

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