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Après la première croisade, il eut toujours deux confesseurs, l'un dominicain, l'autre franciscain; Gaufred., de Bell. loc, ap. Duchesne, V, 451. Le confesseur de la reine Marguerite rapporte qu'il eut la pensée de se faire dominicain, et que ce ne fut qu'avec peine que sa femme l'en empêcha. Il eut soin de faire transmettre au pape le livre de Guillaume de Saint-Amour.

Elle répondit: «Oh! nonavec un élan si violent, une défense des mains jetées en avant si instinctive, que le prêtre pensa aussitôt: «Elle dit vraiLes confesseurs, du reste, doutent rarement de la sincérité d'un pénitent; ils savent que, seul

Le Retiro, l'Escurial, S. Ildefonse, étaient les vrais châteaux des songes. Du plus haut au plus bas, tous rêvaient et politiquaient. Les confesseurs aux entre-sols, les grands, les majordomes, les valets dans les antichambres, sans cesse refaisaient la croisade et renouvelaient l'Armada. Les cuisiniers marmitonnaient l'Europe. Lieu admirable aux intrigants, aux charlatans dévots.

Elles entraînèrent, dominèrent ceux qui paraissaient les conduire, poussèrent leurs confesseurs dans la voie du martyre, leurs maris dans la guerre civile. Le dix-huitième siècle connaissait peu l'âme du prêtre.

Et tout cela devant les confesseurs. La reine en avait un qui faisait ses affaires et écrivait pour elle, digne d'elle (on en a des lettres. V. Montgon), un sot, un frère coupe-choux, qui écrivait comme un portier. Celui du Roi, tout autre, Espagnol, le P. Bermudez, dur et profond Jésuite qui ne désirait rien que l'extermination des jansénistes, brûlait de le voir

Aussi, comment récompenser ces confesseurs si gaillardement indulgents, ces guides spirituels d'une complaisance si égrillarde? Hélas, mon Dieu! cela se paye tout benoîtement par l'abandon futur de beaux et bons immeubles, de brillants écus bien trébuchants, le tout au détriment des héritiers du sang, souvent pauvres, honnêtes, laborieux, et ainsi pieusement dépouillés par les révérends pères.

Je vais essayer. Nous avons reconnu d'abord, ce me semble, que la Divine Comédie et Faust sont deux œuvres profondément religieuses. Dans chacun de ces poëmes, qui ont été pour Dante comme pour Gœthe l'œuvre de toute la vie, l'un et l'autre ils ont voulu enseigner aux hommes la vérité divine dont chaque science humaine est un rayon, la doctrine du salut. Sous le voile du symbole et dans une action légendaire, ils ont intéressé l'esprit humain au mystère de sa propre destinée, temporelle et éternelle. Ils se sont faits apôtres et confesseurs d'une foi religieuse, morale et politique, nous avons admiré l'expression la plus haute du problème de la vie en Dieu. Tous deux, par l'union intime de la science et de la poésie, de la raison et de la foi, ils ont essayé de rétablir l'harmonie primitive de l'âme humaine dans ses rapports avec l'âme du monde; ils ont cherché, dans les régions de l'infini, la conciliation des discordances et des contradictions de l'existence finie. Tous deux enfin ils ont tenté d'édifier une république, une cité idéale, régneraient ensemble la liberté et la loi, la nature et l'esprit; la contemplation et l'action, la science et l'amour, se prêtant une force mutuelle, donneraient dès ici-bas

Pourquoi tant de veuves se remarient-elles, et si peu de veufs? J'ai connu des gens polis comme des notaires, paraissant discrets comme des confesseurs, qui, dans le geste ou dans les mots, n'avaient rien de compromettant si on venait

On multiplia hors de toute mesure ce sacrifice auguste dont la nature était essentiellement l'unité: on parut ne voir jamais que les effets directs et les convenances du moment: on mit partout des sacrificateurs et des confesseurs; on fit partout des prêtres et des moines, ils se mêlèrent de tout, et partout on en trouve des troupes dans le luxe ou dans la mendicité.

»Et vi après qu'ils s'appareilloient durement par armes que je feusse restabli. Et tant amenda ma besoigne de jour en jour par les mérites des glorieux confesseurs, que ils parfirent bien ce qu'ils avoient commencié, si comme il apparut en la fin.