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Mis à jour: 4 juin 2025


Monsieur de Commarin, prononça-t-il, j'ai l'honneur de vous présenter monsieur Noël Gerdy. M. de Commarin s'attendait probablement

Quelque chose me disait bien, murmurait-il, qu'accepter cette affaire était mal. Je suis puni de n'avoir pas écouté cette voix intérieure. Il fallait se récuser. Dans l'état des choses, ce vicomte de Commarin n'en était ni plus ni moins arrêté, emprisonné, interrogé, confondu, jugé certainement et probablement condamné. Mais alors, étranger

Et vous pensez que madame d'Arlange donnera sa petite-fille au sieur Gerdy? Nous l'espérons, monsieur. La marquise est assez entichée de noblesse pour préférer le bâtard d'un gentilhomme au fils de quelque honorable industriel. Si cependant elle refusait, eh bien! nous attendrions sa mort sans la désirer. Le ton toujours calme d'Albert transportait le comte de Commarin.

Le père Tabaret, en artiste habile, avait lancé ces noms avec une lenteur calculée, comptant bien qu'ils produiraient une énorme impression. Son attente fut dépassée. M. Daburon fut frappé de stupeur. Il demeura immobile, les yeux agrandis par l'étonnement. Machinalement il répétait comme un mot vide de sens et qu'on s'apprend: Albert de Commarin, Albert de Commarin!

Le commissaire étendit la main en même temps qu'il prononçait la formule sacramentelle: Monsieur de Commarin, au nom de la loi, je vous arrête. Moi! monsieur, moi... Albert, arraché brusquement

Il causait avec le comte de Commarin, qu'il venait de mettre au fait des révélations de Pierre Lerouge, que le comte croyait mort depuis plusieurs années. Le père Tabaret entra comme un tourbillon, trop éperdu pour faire attention

L'événement auquel nous faisons allusion avait deux témoins: un de vos amis d'abord, le baron de Clinchan, puis un de vos valets de pied, un certain Ludovic Trofeu, actuellement piqueur chez M. le comte de Commarin. J'ignore ce qu'est devenu Ludovic.

M. Daburon avait laissé choir une coupe admirable; M. de Commarin, qui était

Je dois vous déclarer, monsieur, reprit froidement l'avocat, que je ne veux pas me tuer... au moins en ce moment. Ah! s'écria M. de Commarin d'un ton de dégoût, il est lâche! Non, monsieur, non. Mais je ne me frapperai que lorsqu'il me sera bien démontré que toute issue m'est fermée, que je ne puis pas me sauver. Misérable! fit le comte menaçant, faudra-t-il donc que moi-même?...

Non! n'est-ce pas? répliqua vivement le comte. Un Commarin, ajouta-t-il, serait mort

Mot du Jour

l'égaierait

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