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Mis à jour: 18 mai 2025
En résumé, Rome, c'est de la reine du monde que je veux parler d'abord, excita mon étonnement plus que mon admiration. À voir tant de monumens accumulés par tant de siècles dans une même enceinte, il y a de quoi s'étonner, mais admirer, c'est autre chose. Ce dernier sentiment n'a guère été excité en moi que par les ruines du Colysée: celles-l
Borne. Saint-Pierre. Le Muséum. Drouais. Raphaël. Le Vatican. Le Colysée. Angelica Kaufmann. Le cardinal de Bernis. Usage romain. Mes déménagemens. Peu de jours après mon arrivée
Le Colysée était encore un lieu de réunion fort
Puisque l'art de Chateaubriand est avant tout pittoresque et extérieur, son vrai triomphe sera dans la description. Ce fut la radieuse nouveauté des Martyrs. «Le Colysée formidable, les catacombes pleines d'une horreur sacrée, la Messénie rêveuse et douce, éclairée d'une lune de Virgile, les horizons bas et plats de la Germanie, le camp romain grave et triste, la prison chrétienne frémissante de l'ivresse du martyre, la plèbe romaine aux clameurs sourdes poussant au pied du tribunal ses remous terribles; et le lac hanté, inquiétant et sombre, dans la forêt druidique »: que de pages présentes
Il ne faut pas s'étonner que la grande ombre de la Rome antique, qui seule poétise la nouvelle, n'ait pas suffi pour me dédommager de ce qui me manquait. On se familiarise bien vite avec les objets qu'on a sans cesse sous les yeux, et ils finissent par ne plus éveiller dans l'âme que des impressions et des idées ordinaires. Je dois pourtant en excepter le Colysée; le jour ou la nuit je ne le voyais jamais de sang-froid. Saint-Pierre me faisait aussi toujours éprouver un frisson d'admiration. C'est si grand! si noble! si beau! si majestueusement calme!!! J'aimais
13, rue Saint-Jacques!» M. Bonardel s'incline. Nous sommes bien les deux hommes en question. Pas de surprise! Et maintenant, qu'est-ce que je veux? L'oeil de M. Bonardel, rue du Colysée, 28, demande
Cette promenade dans les campagnes romaines m'a laissé un souvenir particulièrement embaumé. Comment pourrais-je traduire l'impression qui me fit tressaillir devant le Colysée? Je la voyais donc enfin cette arène, où tant de martyrs avaient versé leur sang pour Jésus! Déj
Il ne faut pas s'étonner que la grande ombre de la Rome antique, qui, seule, poétise la nouvelle, n'ait pas suffi pour me dédommager de ce qui me manquait. On se familiarise bien vite avec les objets qu'on a sans cesse sous les yeux, et ils finissent par ne plus éveiller dans l'âme que des impressions et des idées ordinaires. Je dois pourtant en excepter le Colysée; le jour ou la nuit, je ne le voyais jamais de sang-froid. Saint-Pierre me faisait aussi toujours éprouver un frisson d'admiration. C'est si grand! si noble! si beau! si majestueusement calme!!! J'aimais
Je me suis rendue au Colysée en mémoire de vous. Le côté d'où l'on peut le croire entier suffit pour faire estimer parfaitement sa grandeur, et cette ruine est encore une des plus belles choses qu'on puisse voir; le ton de ses pierres, les effets que la végétation y a semés partout, en font un monument admirable pour la peinture. Je ne puis concevoir comment il a pu vous venir l'idée si hasardeuse de grimper jusqu'au faîte pour l'unique plaisir d'y planter une croix? La raison se refuse
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