Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 8 juin 2025


Ainsi le régime prohibitif et le système colonial, qui en est le complément nécessaire, menacent notre indépendance nationale. Un peuple sans possessions au del

Le féminisme colonial I. ENCOMBREMENT DE TOUS LES EMPLOIS DANS LA MÈRE-PATRIE.

»Vous concevez maintenant que nous ayons eu parfois des ministres impérialistes, jaloux d'agrandir notre domaine colonial. Et il faut encore nous féliciter et louer la modération de nos gouvernants qui pouvaient nous charger de plus de colonies. »Mais tout péril n'est pas écarté et nous sommes menacés de quatre-vingts ans de guerres au Maroc. Est-ce que la folie coloniale ne finira jamais?

Moins favorisée que le Canada par le gouvernement français, l'Acadie demeura un peu négligée, presque oubliée, et dans le plus fort de l'élan colonial donné par Colbert, alors que de nombreux convois d'émigrants quittaient les côtes de France, elle ne reçut, de 1630

Le traité d'Utrecht arracha des mains débiles et mourantes de Louis XIV les portes du Canada, l'Acadie et l'île de Terreneuve. De ce traité trop fameux date le déclin de la monarchie française, qui marcha dès lors précipitamment vers l'abîme de 1792. La nation humiliée parut cependant vouloir faire un dernier effort, pour reprendre en Amérique la position avantageuse qu'elle venait de perdre, et elle projeta un système colonial plus vaste encore que celui qui existait avant la guerre, et dont l'heureuse terminaison de la découverte du Mississipi, favorisa l'exécution. En cela le peuple français montrait qu'il n'avait rien perdu lui-même de son esprit d'entreprise ni de son énergie; mais le gouvernement n'avait plus la force ni les moyens de le protéger suffisamment dans une pareille oeuvre. D'ailleurs les circonstances étaient telles qu'il fallait tout sacrifier

Nous avons, dites-vous, tenté de dénaturer les livres saints, pour y trouver l'apologie de l'esclavage colonial. Nous n'avons jamais trouvé dans les livres saints d'apologie de l'esclavage; mais ils ne l'improuvent pas, puisque S. Paul, dans son épître sixième,

MOI. Je demanderai plutôt si jamais elle a été obéie. Aujourd'hui, si un gouverneur osait tenir un pareil langage, la révolte éclaterait aussitôt en dedans et en dehors du Parlement colonial. Voil

Et qu'allez-vous faire de ces deux nègres, madame? demanda l'abbé. Les dénoncer au Conseil colonial? Je vais bien les sangler, ce soir... et j'espère qu'ils se corrigeront de ce vice exécrable, mais je vous prierais, monsieur l'abbé, et vous, ma chère amie, de ne point parler de cette aventure, qui pourrait me causer les plus grands dommages. Pourquoi en effet les dénoncer au Conseil?

La conduite de Sherbrooke avait beaucoup modéré l'ardeur, des partis. Lorsque le parlement s'ouvrit, la chambre parut vouloir abandonner l'affaire des juges au grand déplaisir de Stuart, qui se crut trahi par ses amis. Le gouverneur employa tout son crédit pour qu'il n'en fut plus question, et pria M. Plessis, suivant la ligne de conduite qui lui avait tracé le ministre, de l'aider de son influence. «Stuart, écrivait plus tard, Sherbrooke au bureau colonial, a été abandonné. Cela peut-être attribué au salaire donné au président; mais la chambre était fatiguée; elle voulait se reposer. J'attribue beaucoup de cette modération au bon sens et aux efforts de M. Papineau, qui a manifesté le désir de causer fréquemment avec moi dans les cas difficiles, ce que je l'ai encouragé

Ne vient-on pas de frapper? MON AMI. Si, je crois. M. SHEA. Come in! QUELQU'UN. Le conseil attend Sa Seigneurie pour se réunir. M. SHEA. Messieurs, vous m'excusez, n'est-ce pas? Il faut... MON AMI. Comment donc, monsieur! mais nous vous sommes très-reconnaissants d'avoir bien voulu nous accorder un si long entretien. MOI. Trois heures! Que faisons-nous? Comment trouves-tu le secrétaire colonial?

Mot du Jour

bornait

D'autres à la Recherche