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Mis à jour: 24 octobre 2025
28 juillet. L'anniversaire de la révolution est célébré par une grande revue de la garde nationale. Au moment où le roi passe sur le boulevard du Temple avec ses fils et un nombreux état-major, une détonation terrible se fait entendre, et autour de lui tombent morts le maréchal Mortier, le général Lachasse, deux colonels, un capitaine, six gardes nationaux, un vieillard, une femme, une jeune fille; vingt-neuf autres personnes sont blessées. Une machine infernale, composée de vingt-cinq canons de fusil, avait été dressée dans la maison nº 50 du boulevard pour tuer le roi; l'homme qui y a mis le feu est sur-le-champ arrêté: c'est un misérable aventurier, nommé Fieschi, qui a pour complices deux membres de la société des Droits de l'homme, Pepin, épicier et capitaine de la garde nationale, Morey, vieux jacobin de 93. L'indignation qu'inspire ce lâche forfait est universelle; le roi et ses fils,
J'interrompis Picart en lui disant que, depuis plus de quinze jours, la diane, ainsi que le réveil du matin, était morte, que nous n'avions plus de cavalerie, et qu'avec ce qui restait, l'on avait formé un escadron, que l'on appelait l'escadron sacré, qu'il était commandé par le plus ancien maréchal de France, que les généraux y étaient comme capitaines et que les colonels, ainsi que les autres officiers, servaient comme soldats; qu'il en était de même d'un bataillon que l'on appelait le bataillon sacré, enfin que, de 40 000 hommes de cavalerie, il n'en restait plus 1000.
Ah! protesta le recruteur, je cherche des hommes pour les colonels qui les repassent au Roi. Les jolies enjôleuses servent leur souverain! D'ailleurs j'ai des sacs d'écus, et puis ma perche: elle excite l'appétit de ceux qui échappent
Je devrais faire l'éloge de tous les colonels, officiers et soldats, car ils sont tous mus du meilleur esprit; mais je ne puis dire trop de bien des colonels Bertrand, Plauzonne et Bachelu, qui sont des officiers de la plus grande capacité. «L'armée a fait une grande perte dans les généraux Launay et Soyez, blessés grièvement; et le jour où ils lui seront rendus sera pour elle un jour de fête.
Dès lors il y eut queue au bureau du consulat; au bottier succéda un tailleur, au tailleur un pharmacien; au bout de huit jours, chaque branche de l'industrie, du commerce ou de l'art eut son représentant breveté. Puis ensuite vinrent les achats de grades et de titres; le cacique fit des colonels et créa des barons, vendit des titres de noblesse personnelle et de la noblesse héréditaire. Un monsieur, qui avait déj
Les colonels Colbert, du septième de hussards, Léry, du cinquième, se sont fait également remarquer par la plus brillante intrépidité. Le colonel Borde-Soult, du vingt-deuxième de chasseurs, a été blessé. M. Gueheneuc, aide-de-camp du maréchal Lannes, a été blessé d'une balle au bras. Les généraux aides-de-camp de l'empereur, Reille et Bertrand, ont rendu des services importans.
Les colonels Morland des chasseurs
La situation devenait claire. M. de Montalivet se retira. M. de La Fayette écrivit au Roi «qu'il se regardait comme ayant donné sa démission.» Le Roi lui répondit aussitôt «qu'en le regrettant bien vivement, il allait prendre des mesures pour remplir le vide qu'il aurait voulu prévenir.» Il était plus de minuit; M. de Montalivet convoqua au Palais-Royal les colonels des légions de la garde nationale, leur raconta les exigences et la retraite définitive de M. de La Fayette, et assuré de leur adhésion, il se rendit sur-le-champ chez l'un des plus vaillants et plus honorés chefs de l'armée, le général comte de Lobau, pour lui annoncer l'intention du Roi de lui confier le commandement supérieur de la garde nationale de Paris: «Laissez-moi tranquille, lui dit le vieux soldat aussi modeste que brave, je n'entends rien aux gardes nationaux. Comment! vous n'y entendez rien quand il s'agit, dès ce matin peut-être, de bataille et de péril? Ah! si c'est de cela qu'il s'agit,
Après les grenadiers, suivaient plus de trente mille hommes, ayant presque tous les pieds et les mains gelés, en partie sans armes, car ils n'auraient pu en faire usage. Beaucoup marchaient appuyés sur des bâtons. Généraux, colonels, officiers, soldats, cavaliers, fantassins de toutes les nations qui formaient notre armée, marchaient confondus, couverts de manteaux et de pelisses brûlées et trouées, enveloppés dans des morceaux de drap, des peaux de mouton, enfin tout ce que l'on pouvait se procurer pour se préserver du froid. Ils marchaient sans se plaindre, s'apprêtant encore, comme ils le pouvaient, pour la lutte, si l'ennemi s'opposait
De nombreux colonels pâlissent, et même de nombreux généraux, le lundi suivant, jour du vernissage. Ils pâlissent de jalousie, toujours inavouable; d'envie, qui peut avoir son beau côté. Le grand succès du Salon, cette année, sera certainement pour la grande toile de Mme Glabisot, la Défense de Nourhas. Les journaux, le monde officiel, le public choisi admis
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