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Mis à jour: 28 juin 2025
Vêtu du sarrau bleu, coiffé du grand chapeau, Parmi les paysans, je vivrais comme un sage, Attrapant chaque jour une rime au passage. Et que d'humbles plaisirs antiques, mais permis Dont je ne parle pas! Avec de bons amis, Tous au même soleil, comme on serait
Et le moindre bébé en robe, ou tout nu coiffé d'un ruban et d'une queue, a appris
»Stanislas, en 1916, a été évacué du front de la Somme sur l'hôpital 309, formation de l'arrière. Une balle dans la cuisse, et l'épaule droite fracturée, il était soigné par une femme de si beaux traits, sous la coiffe, que plusieurs officiers en avaient eu déj
Je ne connais donc rien de Paris, rien que les alentours du faubourg Saint-Honoré, le chemin du lycée Bonaparte, la rue Miromesnil, la rue Verte, place Beauvau; j'y rencontre beaucoup de domestiques en gilet rouge et de femmes de chambre, en coiffe, dont les rubans volent
Bon, me dis-je, encore un raseur! Ce que je vais le semer! Cependant mon homme me regardait avec une insistance étrange. Ce qui fit que je l'examinai aussi. Vêtu de bleu sombre, chaussé de jaune, coiffé de paille blanche, il était de petite taille, âgé de quarante ans environ, tout en os et en nerfs.
Mais je vis des choses plus tristes encore. Parmi les filles qui, tous les jours, venaient chez Mme Paulhat-Durand, j'en avais remarqué une, d'abord parce qu'elle portait une coiffe bretonne, ensuite parce que rien que de la voir, cela me causait une mélancolie invincible. Une paysanne égarée dans Paris, dans ce Paris effrayant qui sans cesse se bouscule et est emporté dans une fièvre mauvaise, je ne connais rien de plus lamentable. Involontairement, cela m'invite
Une autre fois, il avait fait une rencontre qui lui avait produit un effet singulier. Il avait croisé dans les petites rues qui avoisinent le boulevard des Invalides un homme vêtu comme un ouvrier et coiffé d'une casquette
Dans le choc qui l'avait renversée, ainsi que sa compagne, au fond de la voiture, sa coiffe de mousseline s'était détachée, et ses cheveux d'or ruisselaient de ses tempes sur ses épaules et de ses épaules le long de son buste aux contours gracieux, chastes et juvéniles.
Elle aussi était vêtue en paysanne, mais son costume était plus riche, et surtout plus seyant que celui de sa cousine. Elle portait, elle, la coiffe de dentelles aux ailes légères des Fouesnantaises. Le grand col empesé
Sur la surface, côté gauche, se trouve l'allumoir, avec une coiffe de culasse;
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