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Mis à jour: 1 juin 2025
Le baron avoit lui-même accueilli et choyé Rousseau; sa maison étoit le rendez-vous de ce qu'on appeloit alors les philosophes; et, dans la pleine sécurité qu'inspire
Au début de l'existence, mon histoire serait simplement celle d'un enfant très choyé, très tenu, très obéissant et toujours convenable dans ses petites manières, auquel rien n'arrivait, dans son étroite sphère ouatée, qui ne fût prévu, et qu'aucun coup n'atteignait qui ne fût amorti avec une sollicitude tendre.
Des années se passent encore. Le fils de Pintloon devient un grand garçon, bien découplé, de figure éveillée, mais de mine réfractaire comme celle de son auteur. Choyé, gâté par sa mère, il a contracté des habitudes de paresse et de débauche, boudant les métiers réguliers et rêvant bamboches et escapades. Les soucis et les tracas de la mère redoublent.
Non! Je serais trop tranquille, trop choyé, trop heureux, auprès de vous. Je ne courrais pas de dangers qui absorbent, je ne prendrais pas de fatigues qui écrasent; tout, autour de moi, serait trop civilisé... Ce qu'il me faudrait, c'est la vie sauvage. Si vous vous engagiez
J'appelai Jadin, qui vint. Ce fut son tour alors d'être choyé et caressé par le pauvre vieillard, qui voulait nous ramener chez lui, et voulait passer la journée avec nous. Mais c'était chose impossible: il allait
A la chute du régime impérial, la vogue populaire qu'avait reconquise le polémiste, un moment moins choyé, après sa défaillance, le portait
«Inutile de vous dire que je fus fêté, choyé, caressé, comme devait l'être le sauveur de deux enfants uniques. Le père et la mère me firent promettre de les venir voir tous les jours. Désormais, j'aurais mes entrées libres dans la maison et mon couvert mis
Ici était Philip Herbert, dont Francis Osborne dit dans ses «Memoires on the Reigns of Queen Elizabeth and King James» qu'«il fut choyé par la cour pour sa belle figure qu'il ne conserva pas longtemps...»
On avait fait venir de Bordeaux une vieille servante de la maison, du nom de Rosalie, portant la grande coiffe des filles de Marennes, et qui veillait, comme un vrai garde du corps, près du malade qu'elle avait connu tout enfant. Si jamais convalescent fut choyé, soigné, dorloté comme un vrai fils de prince, ce fut assurément le jeune héros de cette aventure.
Heureux, content, choyé, Gaston atteignit sa huitième année. A cette date, on vit souvent Mademoiselle en conférence avec son notaire. Le soir, elle s'oubliait pensive près du lit de son neveu, qu'elle embrassait de temps
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