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Mis à jour: 18 juin 2025


La multitude de statues de marbre et de bronze, les temples entourés de colonnes, le jour produisait tant de magiques effets, les lignes de palais avec leurs riches vestibules frappèrent vivement l'enfant. Il ne pouvait se lasser de voir, au milieu de ces magnificences de l'art, des centaines d'hommes se drapant dans la pourpre, ou que des chars dorés entraînaient avec la rapidité de l'éclair.

Il était assis au même endroit, l'air désolé, le menton appuyé sur ses mains noueuses, déformées par le travail, les yeux mornes et vides, regardant devant lui, sans rien voir de ce qui se faisait autour de lui. Le chargement des chars fut prestement opéré et le petit troupeau de boeufs fut bientôt amené d'un champ voisin.

Quelques autres phénomènes, auxquels un Anglo-Indien n'eût pu se méprendre, s'étaient manifestés aussi pendant cette journée. Des volutes d'une poussière très ténue avaient tourbillonné sur la route pendant la marche du train. Le mouvement des roues, peu rapide d'ailleurs, aussi bien les roues de notre moteur que celles des deux chars roulants, auraient certainement pu soulever cette poussière, mais non pas avec une telle intensité. On eût dit un nuage de ces duvets que fait danser une machine électrique mise en mouvement. Le sol pouvait donc être comparé

Laboureur et sa charrue. Quant aux chars, on les rencontre en Chaldée, en

Dès le commencement de l'après-midi, il y eut foule sur la place. De tous les villages voisins les fermiers arrivaient, secoués avec leurs femmes et leurs enfants dans les chars-

Et, trois fois, sur le bord du fossé, le divin Akhilleus cria, et, trois fois, les Troiens furent bouleversés, et les illustres alliés; et douze des plus braves périrent au milieu de leurs chars et de leurs lances. Mais les Akhaiens, emportant avec ardeur Patroklos hors des traits, le déposèrent sur un lit.

Apprenant qu'on allait partir, les épouses du roi des rois descendirent aussitôt de leurs chars et décrivirent un pradakshina autour du brahmane digne de tous hommages. Kâauçalyâ tremblante, amaigrie, accablée de tristesse, prit dans ses deux mains les deux pieds de l'anachorète.

Et dans cette allure de fuite, ce qu'on éprouvait surtout, c'était une illusion de légèreté; sans aucune peine ni effort, on se sentait bondir. Quand la Marie montait sur ces lames, c'était sans secousse comme si le vent l'eût enlevée; et sa redescente après était comme une glissade, faisant éprouver ce tressaillement du ventre qu'on a dans les chutes simulées des "chars russes" ou dans celles imaginaires des rêves. Elle glissait comme

3e. Le roi est assis au milieu des chefs de l'armée; on vient lui annoncer que les ennemis attaquent son armée. On prépare le char du roi, et des serviteurs modèrent l'ardeur des chevaux, qui sont dessinés, ici comme ailleurs, en perfection. Plus loin se voit l'attaque des ennemis, montés sur des chars de guerre et combattant sans ordre une ligne de chars égyptiens méthodiquement rangés. Cette partie du tableau est pleine de mouvement et d'action: c'est comparable

Le matin, toutes les fenêtres guettaient le jour, imploraient le ciel pour obtenir un temps favorable. Les rues étaient bordées de sapins et de mélèzes que les paysans, la veille ou l'avant-veille, apportaient de la montagne dans leurs chars

Mot du Jour

l'égaierait

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