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Mis à jour: 18 octobre 2025
Il y a trente ans, quand on a fait la ligne pour amener les chars de Québec, j'étais l
Hélas! il y eu une époque, répondit en soupirant le vieillard, adoptant la langue que parlait l'étranger, où la Grèce t'aurait offert des adversaires dignes de te disputer la victoire: mais nous ne sommes plus au temps où Milon le Crotoniate fut couronné six fois aux jeux pythiens, et où l'Athénien Alcibiade envoyait sept chars aux jeux olympiques, et remportait quatre prix. La Grèce avec sa liberté a perdu ses arts et sa force, et Rome,
Les autres membres des deux familles et les amis suivaient dans quarante-cinq carrosses de différentes formes et grandeurs. Il y avait des pataches, des coupés, des landaus, des chars-
Lakshmana vit partout aux deux côtés des rues les blanches files des palais aux constructions variées, hauts comme les cimes du mont Kêlâsa. Dans la rue royale, il vit les temples d'une belle architecture et plaqués d'émail blanc: partout il vit des chars consacrés aux dieux. Le frère puîné de Bharata vit l
Soixante mille chars de guerre, pleins d'archers et bien munis de projectiles, suivaient Bharata dans sa marche, Bharata, le fils de roi aux forces puissantes. Cent mille chevaux montés de leurs cavaliers suivaient Bharata dans sa marche, Bharata, le fils de roi et le descendant illustre de l'antique Raghou.
On passait sur la route. Il y avait des fiacres, des citadines, comme on disait alors, ou bien des chars-
Voyez ces grands palais; voyez ces chars de fêtes Aux tournoyants essieux; Voyez ces longs fusils qui suivent le rivage; Voyez ces chevaux, noirs comme un héron sauvage Qui vole sous les cieux,
Des questions tremblèrent sur ses lèvres. Elle eût voulu savoir s'il y avait de hautes maisons et des magasins des deux côtés de ces rues, sans interruption, comme on le lui avait dit, si les chars électriques marchaient toute l'année; si la vie était bien chère... Et des réponses
Et, dès que les Troiens eurent entendu la voix d'airain de l'Aiakide, ils frémirent tous; et les chevaux aux belles crinières tournèrent les chars, car ils pressentaient des malheurs, et leurs conducteurs furent épouvantés quand ils virent cette flamme infatigable et horrible qui brûlait sur la tête du magnanime Pèléiôn et que nourrissait la déesse aux yeux clairs Athènè.
Derrière les gardes nationaux marchait une troupe de jeunes gens qui portaient sur leurs épaules des arbres de la liberté, parés de fleurs et de rubans. Après eux, les frères de la Société populaire, coiffés du bonnet phrygien, soulevaient au-dessus de leur tête les trois pierres de la Bastille. Des chars, splendidement ornés et ombragés par des drapeaux, présentaient aux regards de la foule, comme un double objet de vénération, des vieillards et des soldats blessés: les victimes de l'âge et les victimes de la guerre! Sublime allégorie qui enseignait
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