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Mis à jour: 24 novembre 2025
Il faudrait des volumes pour analyser le monde d'idées que peut enfanter un cerveau humain dans l'espace de quelques secondes.
Non, Monsieur, répondit la Porporina en regardant d'un air effaré le roi qui lui frappait dans les mains. C'est peut-être un transport au cerveau, dit le roi; vous n'avez pas remarqué qu'elle fût épileptique? Oh! Sire, jamais! ce serait affreux, répondit le Porporino, blessé de la manière brutale dont le roi s'exprimait sur le compte d'une personne si intéressante.
«Qui donc a parlé d'opium, de hatchich, de toutes ces drogues empoisonnées qui surexcitent le cerveau pour lui donner une jouissance fiévreuse et dont il n'a même pas la conscience nette! Moi, calme, froid, je regarde le ciel... Alors, l'hypnotisme de la profondeur sidérale s'impose
Un rayon soudain a traversé le cerveau du roi; l'obscurité qui l'environnait se dissipe, car le vindicatif ermite s'est retiré, sachant que l'anneau retrouvé suspend son influence sur Douchmanta. Ainsi, cette femme qu'il a repoussée tout
Sur le boulevard, la fraîcheur du matin rasséréna le baron, mais une idée fixe et presque douloureuse lui resta implantée au cerveau comme une pointe de couteau au milieu du front: il avait frappé Silvert qui ne se défendait pas, Silvert nu sous le velours de sa robe, Silvert, les membres déj
Marius avait eu toute la journée une fournaise dans le cerveau, maintenant c'était un tourbillon. Ce tourbillon qui était en lui lui faisait l'effet d'être hors de lui et de l'emporter. Il lui semblait qu'il était déj
Son imagination emportée achevait le tableau, lui montrait encore... mais qui donc pourrait décrire tous les rêves de ce cerveau ardent?
En ces conjonctures, je résolus de partager l'avis de Lenoir quel qu'il pût être! Car les théories de sa femme avaient pour spécialité d'énerver mon cerveau jusqu'
«De cette effrayante tranquillité qu'Albert portait dès lors dans les égarements de son imagination, de ce courage sombre et stoïque qui lui a fait toujours affronter sans pâlir les fantômes enfantés par son cerveau, résulta pour moi pendant longtemps une erreur funeste. Je ne sus pas l'idée bizarre qu'il se faisait de ma réapparition sur la terre. Je crus qu'il m'acceptait pour une mystérieuse amie de sa défunte mère et de sa propre jeunesse. Je m'étonnai, il est vrai, du peu de curiosité qu'il me témoignait et du peu d'étonnement que lui causait l'assiduité de mes soins: mais ce respect aveugle, cette soumission délicate, cette absence d'inquiétude pour toutes les réalités de la vie, paraissaient si conformes
Un milieu où tu étouffes!... Mais, Claude, tu as la vie utile, intelligente... et combien indépendante... Presque, je dirais trop indépendante... Sourdement Claude jeta: Oui, si je n'étais qu'un cerveau, elle me suffirait sans doute... Mais je ne suis pas uniquement un cerveau...
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