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Mis à jour: 4 mai 2025
Le train que menait Clémence était considérable, et elle défrayait, par les parties qu'elle organisait, les conversations de toute la plage. Ce n'étaient que cavalcades, entraînant sur la route d'Honfleur ou de Villers la jeunesse de Trouville. Le manège, ces jours-l
Ce fut tous les jours une fête: on commençait le matin pour quelque belle promenade vers les ruines voisines, le plus souvent en cavalcades irrégulières; on déjeunait dans la forêt, où les plus beaux menus sortaient de terre comme par magie; le soir, on faisait les charades, on jouait la comédie improvisée, la seule comédie de l'avenir; on se couchait tard, mais on se levait matin; car il est convenu que la vie de château est plus désordonnée que la vie de Paris; il faut être fièrement campé pour y résister: jambes d'acier, estomac d'enfer et coeur de bronze.
Aussi n'était-ce pas pour son plaisir particulier, comme pourraient le croire ceux qui connaissent l'égoïsme du duc d'Anjou, qu'il faisait de si belles cavalcades dans la ville. Non. Ces promenades tournaient au plaisir des gentilshommes parisiens, qui étaient venus le rejoindre, des seigneurs angevins, et surtout des dames angevines.
Autour d'eux, l'heure du déjeuner mettait en branle la maison entière. Toutes les portes tapaient, les couloirs et l'escalier résonnaient de continuelles cavalcades. Trois grandes filles passèrent, dans le vent de leurs jupes. Des enfants en bas âge pleuraient, au fond d'une chambre voisine. Puis, c'étaient de vieilles gens affolés, des prêtres éperdus, sortant de leur caractère, soulevant leurs soutanes
Il y eut un grand bal, rondes, cachuchas et festins, feux de joie et cavalcades, on sait que les chevaux ne manquaient point. Maître Taillevent ne se mêla point
Ce riche et florissant royaume présentait aux premiers jours de l'été de 1815, un air de bien-être et d'opulence qui rappelait les plus beaux temps de son passé. Ses vastes campagnes et ses paisibles cités s'animaient de la présence de nos beaux uniformes rouges; ses magnifiques promenades étaient sillonnées en tout sens par de fringants équipages, par de brillantes cavalcades; ses rivières côtoyant de riches pâturages, d'antiques et pittoresques hameaux, de vieux châteaux cachés sous d'épais ombrages, promenaient doucement sur leurs ondes la foule indolente des touristes anglais; le soldat buvait
Quand des lignes françaises on passait aux lignes ennemies, on ne rencontrait plus ces cavalcades, mais l'aspect des villages était le même: les troupes au lieu de marcher
L'émouchette caparaçonne les forts chevaux, car les taons font rage le long des chênaies; mais les mailles du filet disparaissent sous les boutons d'or, les marguerites et les roses. Des cavalcades se forment. Les voitures se rendant aux mêmes villages, ou revenues des mêmes clochers, cahotent
Quelles rimes! quel rythme! quelle musique! quelle couleur! Devant ces effrénées cavalcades de mots, tout pâlit, tout languit; les plus prestigieux ouvriers en style, les plus illustres que vous pourriez nommer, s'évanouissent, et ils le savent bien. C'est une joie absolument pure que de lire de tels vers. Je suis si tranquille sur le fond! Le fond, c'est quelque idée fausse, incomplète, ou qui même me répugne; ou bien, c'est quelque idée toute simple, même banale, et que le poète laisse banale, comme Dieu l'a faite. Dans les deux cas, la chose m'est indifférente. Et alors je puis savourer uniquement, sans trouble ni souci, la magnifique, triomphante et précise surabondance de l'expression. Je ne sais, pour moi, rien de plus amusant que les méditations de Hugo sur la mort. Car, pour exprimer le néant et sa tristesse, il moissonne
En même temps, pour égayer le décor, humaniser sa note imposante, des cavalcades les croisaient sur la route, de grands landaus
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