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Mis à jour: 13 mai 2025


Mais cette crainte, qui n'arrêtait pas Caulincourt et plusieurs autres, n'eut pas plus d'influence sur Duroc, Daru, Lobau, Rapp, Lauriston, et parfois même sur Berthier. Ces ministres et ces généraux, chacun en ce qui le concernait, n'épargnaient pas la vérité

Mais ceux de son intérieur y apportèrent leur opposition, chacun suivant son caractère: Berthier par une contenance triste, des plaintes et même des larmes; Lobau et Caulincourt par une franchise qui, chez le premier, avait une haute et froide rudesse, excusable dans un si brave guerrier, et qui, dans le second, était persévérante jusqu'

C'est au prince Kourakin qu'il s'est adressé. Cet ambassadeur vient de protester des intentions pacifiques de son souverain, il l'interrompt: «Non, son maître veut la guerre! il sait par ses généraux que les armées russes accourent sur le Niémen! L'empereur Alexandre trompe et gagne tous ses envoyésPuis apercevant Caulincourt, il traverse rapidement la salle, et l'interpelant avec violence: «Oui, vous aussi vous êtes devenu Russe. Vous êtes séduit par l'empereur AlexandreLe duc répliqua fermement: «Oui, sire, parce que je le crois FrançaisNapoléon se tut; mais depuis ce moment il traita froidement ce grand-officier, sans pourtant le rebuter; plusieurs fois même il essaya, par de nouveaux raisonnemens, entremêlés de caresses familières, de le faire rentrer dans son opinion, mais inutilement; il le trouva toujours inflexible, prêt

J'allai voir M. de Caulincourt le soir même du 19. Il m'apprit la ruine absolue de tout ce qui avait été

L'empereur a toujours été entouré, partout il a paru, du prince de Neufchâtel, du maréchal Bessières, du grand maréchal du palais, Duroc, du grand-écuyer Caulincourt, et de ses aides-de-camp et écuyers de service. Une partie de l'armée n'a pas donné, ou est encore sans avoir tiré un coup de fusil. De notre camp impérial de Weimar, le 15 octobre 1806. Aux archevêques et évêques de l'empire.

C'était sur-tout une menace pour effrayer les siens, comme les ennemis, et pour amener et appuyer une négociation qu'entamerait Caulincourt. Ce grand-officier avait plu

Peut-être Caulincourt ne comprit-il pas assez que, par l

Caulincourt répondit: «Vous m'y verrez tout

Tels furent les motifs de Napoléon. Caulincourt reçut aussitôt l'ordre de préparer en secret ce départ. Le lieu qu'on lui assigna fut Smorgony, et son époque la nuit du cinq au six.

Ainsi les Russes s'étaient pour la troisième fois reformé un flanc gauche, devant Ney et Murat; mais celui-ci appelle la cavalerie de Montbrun. Ce général était tué. Caulincourt le remplace; il trouve les aides-de-camp du malheureux Montbrun pleurant leur général: «Suivez-moi, leur crie-t-il. Ne le pleurez plus, et venez, le venger

Mot du Jour

cuthbert

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