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Mis à jour: 28 juin 2025
«Il souffrit, dit une note du maréchal de Castries, que M. de Calonne vînt incognito près de Turin, d'où il pourrait communiquer avec M. le comte d'Artois. Enfin, d'acte de faiblesse en acte de faiblesse, il parvint
Aussitôt, le Régent pressait de questions le maréchal de Castries
À cette détresse morale, s'ajoutait la détresse matérielle. Les fonds successivement prêtés par les maisons régnantes s'épuisaient. À grands pas s'avançait la misère. Le crédit personnel du maréchal de Castries venait d'obtenir d'un banquier de Cologne cent mille florins pour les princes; mais, en recevant cette somme, le 24 janvier, Calonne écrivait avec mélancolie: «C'est toujours un petit secours pour en attendre de plus grands qui viennent bien lentement. Nous n'avons rien touché de Naples, et, quoique l'Empereur dise partout qu'il a prêté aux princes deux millions, le fait est que ces deux millions sont encore réduits
La lettre du roi au maréchal de Castries cachait donc une petite supercherie. Mais il n'en fut jamais de plus excusable, puisqu'il s'agissait après tout du salut d'une cause que les fautes des princes compromettaient chaque jour d'une manière plus irrémédiable. On ne dira jamais assez avec quelle étourderie eux et leurs agents ouvraient des négociations sur les sujets les plus graves. C'est ainsi qu'
Ce n'était plus le chemin du pays de Gueldre. Les officiers et les soldats ne savaient plus où on les conduisait. À Flotow, ils apprirent que la cavalerie de M. de Castries fourrageait jusque vers Pyrmont, ce qui semblait indiquer une marche vers le sud. Les paysans allemands se moquaient et disaient que l'armée française avait perdu sa route.
Sur ses desseins et ses visées, on ne saurait avoir des doutes. Les chefs de l'émigration française n'en conservaient plus. À la suite d'une entrevue qu'il avait eue avec Pitt, le fils du maréchal de Castries écrivait
Ce parc, admirable solitude, n'abritait communément sous son ombrage que le gibier de Son Altesse Sérénissime, mais il avait aujourd'hui d'autres habitants. L'armée entière de M. le maréchal-marquis de Castries était l
En transmettant, le 10 mars, ces réponses au maréchal de Castries, Lally-Tollendal laissait entendre qu'il ne fallait pas les considérer comme définitives. On dépendait des événements. «Mercredi, on tremblait pour la Hollande; on était mécontent de la Prusse. Pitt inclinait
Le roi accueillit avec la plus grande satisfaction MM. de Lauzun et de Deux-Ponts, et leur fit les plus belles promesses pour l'armée expéditionnaire et pour eux-mêmes; mais son premier ministre M. de Maurepas mourut sur ces entrefaites, et MM. de Castries et de Ségur en profitèrent pour ne pas tenir les promesses royales
«M. le comte de Vergennes et M. le maréchal de Castries sont venus
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