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Mis à jour: 20 juin 2025
Un matin, ne pouvant y tenir, car cette signorina de quinze ans me trottait par la tête avec ses petites mains blanches et ses grands yeux noirs, je pris mon carnier, j'appelai mon chien, et je partis pour la chasse, n'oubliant que mon fusil. Je rôdai vainement autour de la villa Grimani; je n'aperçus pas un être vivant, je n'entendis pas un bruit humain. Toutes les grilles du parc étaient fermées, et je remarquai que dans la grande allée, d'où l'on apercevait le bas de la façade, on avait abattu de gros arbres, dont le branchage touffu interceptait complètement la vue.
Le garde, qui avait tiré son coup de fusil sur la mère, se précipita sur les petits et les jeta dans son carnier. Camille, Madeleine et Marguerite accoururent. «Pourquoi avez-vous tué cette pauvre bête, méchant Nicaise? dit Camille avec indignation. Les pauvres petits vont mourir de faim
L'autre, Pierre Carnier, un rien plus âgé, mais plus maigre et plus vivant, reprit: Moi, mon cher, j'ai vieilli sans m'en apercevoir le moins du monde. J'étais toujours gai, gaillard, vigoureux et le reste.
Après deux ou trois heures de travail, ayant dépecé l'ours, il ralluma du feu, fit cuire quelques tranches sur des charbons, plaça dans son carnier une grosse portion de viande, et serra le reste, enveloppé de la peau dans une enfonçure de la roche, qu'avec l'aide de Poignet-d'Acier il scella d'une pierre assez lourde pour que quatre hommes de force ordinaire ne la pussent remuer.
Comme vous voudrez; j'ai dans mon carnier quelques provisions de reste, je souperai dans la soupente en me reposant. Va... Maître, rappelez-vous ce que je vous ai dit: défiez-vous du vieux
Une armée d'hommes de tous âges, sortis de toutes conditions ingrates, ou moins amusantes, les uns plus, les autres moins lettrés, plus ou moins bien vêtus et quelques-uns très bien et «ayant du monde»; tous hardis, résolus, imperturbables, quelquefois effrontés, forts d'un droit qu'ils s'attribuent et qu'ils réclament hautement. Cette armée infatigable ne se repose ni le jour ni la nuit. Quelques-uns chassent avec un carnier
Mes souvenirs s'éveillaient. Ils me parlaient de ma jeunesse, de cette époque heureuse où je courais les sentiers de ma chère Provence. Musset était alors mon compagnon. Je l'emportais dans mon carnier; et, derrière le premier buisson j'oubliais mon fusil sur l'herbe, je lisais le poète, dans cette ombre chaude du Midi, parfumée de sauge et de lavande.
«J'allais ranger dans mon carnier mes trois victimes, quand je me sens empoigné tout d'un coup par un bras vigoureux. « Vous êtes sur les terres de M. le comte de Lancry, me dit un garde orné de sa plaque. « Allons donc! mon chef, vous voulez rire, je chasse sur celles de M. Sauvigny! «L'impitoyable garde, pour toute réponse, me met la main au collet, il m'ordonne de le suivre.
La chasse présenta plusieurs incidents qu'il serait trop long et peut-être oiseux de rapporter ici. Vers quatre heures du soir, nous avions forcé la retraite du renard que mon oncle emportait dans son carnier avec une visible satisfaction. Pour moi, j'étais... honteux comme un renard qu'une poule aurait pris! c'est, ou jamais, le cas de le dire.
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