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Mis à jour: 4 mai 2025
Je n'ai pas besoin d'ajouter que l'intervention condamnée en France et en Angleterre par l'opinion publique, repoussée dans le reste de l'Europe par la politique des cabinets, trouverait en Espagne même de nombreux contradicteurs, qu'elle ôterait en apparence au gouvernement de la reine ce caractère de nationalité qui est la première des forces morales, et qu'au contraire, elle grandirait le parti de don Carlos, en lui fournissant l'occasion de se présenter comme le défenseur de l'indépendance du pays.
Mais Carlos, qu'était-ce que ce roi Carlos qu'on acclamait? Et on expliquait: Carlos, c'était le Torero lui-même. Oui, le Torero, l'idole des Andalous, était le propre fils du roi Philippe qui le poursuivait de sa haine.
Le traité de Valençay fut signé le 11 décembre 1813. L'intégrité de l'Espagne était promise. Les troupes françaises devaient évacuer le pays, les armées espagnoles et anglaises ne pas dépasser les Pyrénées. Enfin Ferdinand avait admis en principe l'idée d'un mariage avec la fille du roi Joseph. Le traité fut porté par le duc de San Carlos aux cortès, et Ferdinand quitta Valençay le 3 mars.
Don Carlos Nous verrons, de vrai, nous verrons. Scène IV. Don Juan, Sganarelle. Sganarelle
Complétant cette patriotique affirmation du docteur Francia: «Le Paraguay est idolâtre de son indépendance.» Le président Carlos Lopez déclarait fièrement, dans sa note du 28 juillet, adressée
«Poursuivez.» Et le roi parla de don Carlos. Et deux larmes coulaient tremblantes sur sa joue Palpitante et collée affreusement
Don Juan O le beau raisonnement ! Sganarelle Après cela, si vous ne vous rendez, tant pis pour vous. Scène III. Don Carlos, Don Juan, Sganarelle. Don Carlos
On sait quels horribles excès furent commis de part et d'autre pendant cette longue et douloureuse lutte; la malheureuse Espagne en gardera longtemps le souvenir. Don Carlos trouva parmi ses partisans un homme de génie, Zumalacarreguy, grande et sombre figure qui domine toute cette sanglante épopée. Ce fut lui qui rappela don Carlos en Espagne après la signature du traité de la quadruple alliance.
À ses allures un peu militaires on devinait sans peine que ce prêtre avait dû porter l'épée, et l'on écoutait sans surprise l'histoire de ce brave officier de cavalerie, qui vaillamment s'était battu sous le commandement de don Carlos, l'avait suivi, et enfin était entré dans le sacerdoce. Ce prêtre était l'abbé Capella.
Entre Vidante et Bayonne, le roi Ferdinand trouva l'infant Don Carlos, qui, accompagné de MM. de Frias, de Médina-Cœli, et de Fernan-Nunès, venait au-devant de son malheureux frère. Le roi les fit monter dans sa voiture, et l
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