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«Bon! monsieur Simcoë, cent mille sauvages, c'est encore assez, et, pour peu qu'ils soient restés de braves cannibales et qu'ils n'aient rien perdu de leur appétit, ils ne feraient qu'une bouchée de tous les Milliardais de Standard-Island

Vous le lui avez demandé ? Je ne savais pas qu'il fût chez elle. La douceur ou plutôt la mélodie enchanteresse de la voix de cet ange eût attendri des Cannibales, mais non un artiste en proie aux tortures de la vanité blessée.

On attendait quelque chose d'humain sur cette partie de notre première législature, et elle ne nous a offert que des hommes de sang, se disputant seulement sur la manière d'égorger leurs semblables. Plus féroces que des cannibales, un d'eux a osé offrir une machine infernale pour trancher des têtes et plus vite et plus cruellement. Voil

Aussi, comme nous l'avons dit, voyait-on le pauvre moine en simple spectateur aux exploits de Rinaldi, de Mammone et des lazzaroni qui suivaient leur exemple. Quand la férocité de ces hordes de cannibales devenait trop grande, on le voyait même détourner la tête et s'éloigner, sans frapper comme d'habitude le pauvre Giacobino de son bâton; et, si c'était

On occupait par ce moyen l'imagination du peuple, et on l'occupait des intérêts actuels. Ces fêtes avaient le caractère de l'événement auquel elles se rattachaient. Celle du 14 juillet 1793 semblait avoir été ordonnée par des cannibales.

Chacun s'empressa de venir au secours de ces infortunés; les gros propriétaires donnèrent beaucoup d'argent; un homme fort riche distribua aussitôt pour son compte quarante mille francs aux malheureux qui l'entouraient. À la honte de l'humanité, ce même homme, l'année suivante, fut massacré un des premiers par les cannibales révolutionnaires.

Eh bien, chacune des franges de sa borla est un signe au moyen duquel on peut donner des ordres aux plus farouches cannibales. Or, on racontait

C'est de Foë lui-même qui l'a déclaré dans la préface au troisième volume de Robinson: Sérieuses réflexions durant la vie et les surprenantes aventures de Robinson Crusoé. «Ce roman, écrit de Foë, bien qu'allégorique est aussi historique. De plus, il existe un homme bien connu dont la vie et les actions forment le sujet de ce volume, et auquel presque toutes les parties de l'histoire font directement allusion. Ceci est la pure vérité.... Il n'y a pas une circonstance de l'histoire imaginaire qui ne soit calquée sur l'histoire réelle.... C'est l'exposition d'une scène entière de vie réelle durant vingt-huit années passées dans les circonstances les plus errantes, affligeantes et désolées que jamais homme ait traversées; et j'ai vécu si longtemps d'une vie d'étranges merveilles, parmi de continuelles tempêtes; je me suis battu avec la pire espèce de sauvages et de cannibales, en d'innombrables et surprenants incidents; j'ai été nourri par des miracles plus grands que celui des corbeaux; j'ai souffert toute manière de violences et d'oppressions, d'injures, de reproches, de mépris des humains, d'attaques de démons, de corrections du ciel et d'oppositions sur terre....» Puis, traitant de la représentation fictive de l'emprisonnement forcé de Robinson dans son île, de Foë ajoute: «Il est aussi raisonnable de représenter une espèce d'emprisonnement par une autre, que de représenter n'importe quelle chose qui existe réellement par une autre qui n'existe pas. Si j'avais adopté la façon ordinaire d'écrire l'histoire privée d'un homme, en vous exposant la conduite ou la vie que vous connaissiez, et sur les malheurs ou défaillances de laquelle vous aviez parfois injustement triomphé, tout ce que j'aurais dit ne vous aurait donné aucune diversion, aurait obtenu

À cette fin, il alluma des chandelles neuves et amoncela le combustible sur son feu. Puis, ayant dîné avec un bifteck qu'il fit rôtir lui-même, sans plus d'apprêt que les sauvages et les cannibales, il se prépara un grand bol de punch brûlant, alluma sa pipe et s'assit pour passer agréablement sa soirée.

Le quartier Latin l'émoustilla un peu; il n'y avait pourtant pas de quoi. Comme tous ses compatriotes, Numa s'installait, en arrivant, au café Malmus, haute et tumultueuse baraque, développant ses trois étages de vitres, larges comme celles d'un magasin de nouveautés, au coin de la rue du Four-Saint-Germain, qu'elle remplissait du fracas de ses billards et des vociférations d'une clientèle de cannibales. Tout le Midi français s'épanouissait l