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Mis à jour: 17 juin 2025


Thomas Corneille eut aussi part aux bienfaits de Fouquet. Il lui dédia une de ses tragédies et s'occupa du sujet de Camma, un des trois canevas proposés par Fouquet

Pour bien juger de l'originalité d'Andromaque, il faut savoir quelles tragédies on faisait dans les années qui ont immédiatement précédé la pièce de Racine. Ce qu'on joue entre 1660 et 1667, c'est Othon, Sophonisbe, Agésilas, Attila, de Pierre Corneille; c'est Astrate, Bellérophon, Pausanias, de Quinault; et c'est Camma, Pyrrhus, Maximian, Persée et Démétrius, Antiochus, de Thomas Corneille.

Fouquet ne cessa, pendant les dernières années de son ministère d'encourager les lettres et les arts, comme il l'avait fait par le passé. Les deux Corneille, stimulés par les pensions et les gratifications qu'il leur accordait, continuèrent de remplir la scène tragique avec un succès que proclamaient les contemporains, mais que la postérité n'a pas toujours ratifié. Thomas s'était emparé du sujet de Camma, que Fouquet avait proposé

Comme leur aïeule, la prêtresse gauloise Camma, elles diront, non en jetant aux pieds de leur mari la tête du centurion romain, mais en repoussant la loi qui ferait d'elles des courtisanes légales: «Deux hommes vivants ne se vanteront pas de m'avoir possédée

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