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Mis à jour: 22 juin 2025
Mais, ne pleure pas, Maria; le capitaine général va venir, il voudra te voir, tu auras les yeux rouges... Ah! moi qui croyais passer une bonne après-midi... sans ce grand malheur je serais le plus heureux des hommes et tous me porteraient envie... Calme-toi, ma fille! je suis plus malheureux que toi et je ne pleure pas.
» Allons, Jean, calme-toi... C'est très-bien de pleurer ton père, tu le dois certainement... N'est-ce pas, Rose? Eh bien! vous pleurez aussi, Rose... » Oui, monsieur... Ça me fait de la peine de voir pleurer M. Jean. Je conçois cela; si je me laissais aller, je pleurerais aussi, mais je veux conserver ma fermeté. Il s'agit maintenant d'aller consoler madame Durand en lui ramenant son fils.
Alice! calme-toi! je t'en prie, s'écria Marc qui offrit vivement son bras
Ne m'épargne pas comme la nuit dernière. Parle: j'aurai du courage. Tu t'exaltes sans cause; il n'y a rien. Je te jure que j'aurai du courage. Tu ne me crois pas? Valentine, calme-toi. Attends, tu vas me croire.
Dans cette pensée, les brahmes et Vaçishtha, leur chef, d'offrir au terrible fils de Bhrigou la corbeille hospitalière et de lui adresser en même temps ces paroles toutes conciliatrices: «Râma, sois ici le très-bienvenu! Reçois, maître, cette corbeille, où sont renfermées les huit choses de l'arghya: rejeton saint de Bhrigou, digne anachorète, calme-toi!
Allez laver vos vêtements, et portez ailleurs votre cargaison. Calme-toi, ma chère, lui dis-je, et reçois-nous comme si nous te rapportions les meilleurs fruits; car, dans notre position, ce sont des richesses précieuses.» Elle nous laissa aborder, et le repas qu'elle nous avait préparé nous fit oublier les occupations de la journée. L'huile de baleine. Visite
Calme-toi, mon ami! Je suis calme. JOS
Natasha sauta de dessus sa banquette, fixa des yeux étonnés sur le prince Pajarski, qui les voyait se remplir de larmes; puis elle se détourna, cacha son visage dans ses mains et éclata en sanglots. .«Natasha, mon enfant, dit la mère en l'attirant dans ses bras, calme-toi; pourquoi ces larmes, ces sanglots?» Natasha: «Oh! maman, maman! Ce pauvre homme! Ce pauvre prince! Comme il a souffert!
Eh bien, vrai de vrai, il ne nous manquait plus que ça! Frères, debout! Allons-nous-en! Calme-toi, petit! fit le Saint-Bernard. Quel potin vous faites,
On croirait qu'il casse des noix! dit Tortillard. Ah! ah! ah! il a raison, le môme. Voyons, calme-toi, mon homme, et laisse-le rire, c'est de son âge! Mais avoue que t'es pas juste: quand le grand homme en deuil, qui a l'air d'un croque-mort, m'a dit: «Il y a mille francs pour vous si vous enlevez une jeune fille qui est dans la ferme de Bouqueval, et si vous l'amenez
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