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Mis à jour: 22 juin 2025
Avec ses fleurs au pur calice, Avec sa mer pleine de deuil, Qui donne un baiser de complice A l'âpre bouche de l'écueil, Avec sa plaine, vaste bible, Son mont noir, son brouillard fuyant, Regards du visage, invisible, Syllabes du mot flamboyant; Avec sa paix, avec son trouble, Son bois voilé, son rocher nu, Avec son écho qui redouble Toutes les voix de l'inconnu,
LE LIS. Votre flatterie prouve votre inconstance. Les amis fidèles ne se vantent pas de leur amitié. De quelle valeur sont vos compliments pour une fleur qui ne veut entr'ouvrir son calice que pour les purs rayons du soleil (tous se lèvent)? Votre flatterie me déplaît presque autant que les piqûres de la guêpe. (Ici la guêpe qui est restée debout avec les autres, jusqu'
Aujourd'hui, nous répandons des larmes en nous souvenant de Sion, comment pourrions-nous chanter les cantiques du Seigneur sur une terre étrangère ? Notre refrain, c'est le cantique de la souffrance. Jésus nous présente un calice bien amer; n'en retirons pas nos lèvres, souffrons en paix!
Et puis, de tout le calice en fleur de son sein, d'elle entière, s'exhalait une odeur subtile, inespérée! enivrante et telle... que, dans l'animation, surtout des mêlées, un charme torturait autour d'elle! excitant ses défenseurs éperdus au désir sans frein de périr
Mille fois non! le Fils n'est pas coéternel au Père, ni de même substance! Autrement il n'aurait pas dit: «Père, éloigne de moi ce calice! Pourquoi m'appelez-vous bon? Dieu seul est bon! Je vais
M'absoudre, oui! vous le pouvez; car celui que vous connaissez, Albert de Rudolstadt, a eu une vie aussi pure que celle d'un petit enfant. Mais celui que vous ne connaissez pas, Jean Ziska du Calice, a été entraîné par la colère du ciel dans une carrière d'iniquités!»
Voltaire, pas plus que d'Alembert, ne se souciait de boire la ciguë. Il consentait pour éloigner ce calice
Je voudrais être le calice Où j'adore le Sang divin! Mais je puis, au saint Sacrifice, Le recueillir chaque matin. Mon âme
Mais hélas! je n'ai plus de soleil, depuis que se sont fermés les yeux si charmants qui réchauffaient mon génie! 22 Juin 1832. Toutes les pensées, toutes les passions qui agitent le coeur mortel sont les esclaves de l'amour. Encore un printemps, encore une goutte de rosée qui se bercera un moment dans mon calice amer, et qui s'en échappera comme une larme.
Pendant qu'elle dormait j'avais préparé pour elle nos meilleurs aliments. Ce n'était certes pas par tendresse que je l'avais fait, car je sentais au dedans de moi une telle fureur contre l'enfant d'Octave, que je l'eusse saisie par les pieds et lui eus broyé la tête sur un rocher; mais mon désir de leur faire du mal n'était pas encore au tiers satisfait. Il me fallait prolonger la souffrance et leur voir boire le calice de la douleur jusqu'
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