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Mis à jour: 12 juin 2025
Il y a toujours l'éternel rassemblement au coin de la rue Drouot, et dans le foyer de lumière que fait le gaz des cafés
La nuit était venue et de tous côtés le gaz s'allumait. Le temps était doux, et il n'y avait pas une table libre devant les cafés. C'était l'heure de l'absinthe, heure unique où le boulevard présente un spectacle comme il n'en est pas au monde.
Ah! bon Dieu! répondit la bonne hôtesse alarmée, ne parlez pas si haut; il y a bien des mauvais sujets dans Besançon. On vous volera cela en moins de rien. Surtout n'entrez jamais dans les cafés, ils sont remplis de mauvais sujets. Vraiment! dit Julien,
Elle se pencha de nouveau. Au milieu, sur la chaussée, les fiacres et les omnibus croisaient toujours leurs yeux de couleur, plus rares et plus rapides. Mais, sur les côtés, le long des trottoirs, de grands trous d'ombre s'étaient creusés, devant les boutiques fermées. Les cafés seuls flambaient encore, rayant l'asphalte de nappes lumineuses. De la rue Drouot
Les terrasses des cafés s'encombrent
Les cafés, les boutiques, les promenades, les lieux publics sont pleins dès le matin jusqu'
Au temps où Moréas montrait son nez Et sa moustache Dans les cafés de Montparnasse, Le vieux cheval de fiacre
Le temps était doux, un temps heureux et léger d'automne. Les cafés étaient pleins. Il s'assit
Il n'y avait pas de spectacle. La salle manquant, jamais il ne passait de comédiens. Les cafés, ignobles comme des cafés de province, ne voyaient guère autour de leurs billards que ce qu'il y avait de plus abaissé parmi la bourgeoisie, quelques mauvais sujets tapageurs et quelques officiers en retraite, débris fatigués des guerres de l'Empire. D'ailleurs, quoique enragés d'égalité blessée (ce sentiment qui,
Cette existence médiocre, et banale si vous voulez, me convenait, satisfaisait mes goûts naturels de changement et de badauderie. Je vivais sur le boulevard, dans les théâtres et dans les cafés, toujours dehors, presque sans domicile, bien que proprement logé. J'étais un de ces milliers d'êtres qui se laissent flotter, comme des bouchons, dans la vie; pour qui les murs de Paris sont les murs du monde, et qui n'ont souci de rien, n'ayant de passion pour rien. J'étais ce qu'on appelle un bon garçon, sans qualités et sans défauts. Voil
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