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Mis à jour: 24 mai 2025


Le Huron, infatigable, se chargea de la première veille tandis que ses compagnons, roulés dans leurs couvertures, s'endormaient sous les branches protectrices d'un petit bosquet de cèdres.

En sortant de dessous ce velum et ces ramures de cèdres, toutes choses un peu emprisonnantes qui masquaient la vue, c'est une surprise et un enchantement, ces bords du lac impérial, ce grand paysage de mélancolie et de silence, en temps ordinaire, lieu de ténèbres s'il en fut jamais, dès la tombée des nuits, bien inquiétant et noir, sur lequel semblait planer un éternel deuil, et qui vient de s'éclairer, cette fois, comme pour quelque fantastique apothéose.

Cette rumeur de la prise de Montréal était fausse, et ce qui y avait donné lieu c'était l'affaire des Cèdres, le capitaine anglais Forter, du 8e régiment,

Mais bientôt elle aperçut le véritable pays ils devaient se rendre, pays de belles montagnes bleues, de bois de cèdres, de villes et de châteaux. Bien avant le coucher du soleil, elle était assise sur un rocher devant l'entrée d'une grotte tapissée de jolies plantes vertes grimpantes, on eût dit des tapis brodés.

Il s'approche d'une fontaine environnée de cèdres et de palmiers, dépose son bouclier, ôte son casque et ensuite toute son armure qui l'accablait de chaleur. «Il tourne son visage tantôt vers la mer, et tantôt vers la montagne, au souffle doux et frais de zéphirs qui font trembler avec un agréable murmure les hautes cimes des hêtres et des sapins.

Il y parlait d'une longue navigation sur l'Océan Pacifique, de campements sous les cèdres rouges, et de Chinois fumeurs d'opium. Il disait comment il avait reçu un coup de couteau d'un Espagnol, dans une ruelle de Sacramento, et comment des Malais lui avaient volé son or. Ses mains tremblaient et il répétait sans cesse ce mot tragique: OR.

Sur tout cet ensemble d'hommes et d'animaux, sur cette immense agglomération de tentes, les cèdres et les pins, disposés par larges bouquets, jetaient une ombre fraîche, brisée ç

Adieu! vieille forêt! Noyés dans la pénombre Et drapés fièrement dans leur feuillage sombre, Tes sapins résineux et tes cèdres altiers Se balancent encor sur le bord des sentiers; Mais loin de leur ombrage et de leur vertes ailes, Dans le même tombeau, les deux amants fidèles Dont les afflictions et les maux sont finis, Reposent, côte

Adieu! vieille forêt! Noyés dans la pénombre Et drapés fièrement dans leur feuillage sombre Tes sapins résineux et tes cèdres altiers Se balancent encore sur le bord des sentiers; Mais sous leur frais ombrage et sous leur vaste dôme, On entend murmurer un étrange idiome! On voit jouer, hélas! les fils d'un étranger!... Seulement, sur les rocs que le flot vient ronger, Et sur les bords déserts du sonore Atlantique On voit, de place en place, un paysan rustique. C'est un pauvre Acadien dont le plaintif aïeul Ne voulut pas avoir, pour sépulcre ou linceul, La terre de l'exil si lourde et si fatale. Et qui revint mourir

Ah! que lassée enfin de toute jouissance, Dans ces jardins meurtris, dans ces tombeaux d'essence, Je m'endorme, momie aux membres épuisés! Que cet embaumement soit un dernier baiser, Tandis que, sous les noirs bambous qui vous abritent, Sous les cèdres, pesants comme un ciel sombre et bas, Blancs oiseaux de sérail que le parfum abat, Vous gémirez d'amour, colombes d'Aphrodite!

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