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Aussitôt les sabords sont ouverts, les hommes commencent la mousqueterie sur les deux vaisseaux ennemis, dont l'un est bientôt démâté, et M. Beaudoin fait la remarque qu'il avait bien espéré que Dieu bénirait ces braves Canadiens, qui depuis le départ s'étaient approchés très souvent des sacrements.

«Quant au second point, du mécontentement de la France pour une conduite aussi injuste de l'empereur, je suis entré diffusément dans l'explication du caractère de cette nation; qu'elle est toujours enchantée de tout ce qui est surprenant; qu'elle n'avait d'autre esprit public pour agir, que l'impulsion donnée par le gouvernement; que, d'un autre côté, la nation française elle-même gagnerait beaucoup pour l'intérêt de son commerce, si les souverains des deux nations étaient d'une même famille; que si l'empereur se contenait dans de certaines limites d'agrandissement, et s'il consolidait son empire par de bonnes institutions morales, la France l'adorerait, le regarderait comme un libérateur de la terrible révolution dans laquelle la nation avait été plongée, bénirait sa dynastie, et regarderait comme une gloire l'occupation de plusieurs trônes de l'Europe par des membres de la famille de son souverain, et que par conséquent l'argument n'effaçait pas mes suspicions; que d'ailleurs nous ne devions jamais oublier que les rois espagnols s'appelaient Bourbons, et qu'ils étaient une branche de l'ancienne maison de France; qu'il existait en France beaucoup de changement dans les fortunes, par la suppression de plusieurs corporations privilégiées, des confiscations et des ventes; car il est certain que tous les Français avaient eu plus ou moins de part dans la révolution; que ces derniers, les littérateurs, ceux qui aiment la réforme, les juifs et les protestans composent la partie la plus nombreuse de la nation. Ils sont maintenant libres de l'oppression qui pesait sur eux avant cette époque, et il est très probable qu'ils regarderont sans chagrin l'anéantissement des Bourbons en Espagne, craignant que l'un d'eux pourrait contraindre un jour peut-être les Français

La garde nationale de Versailles, comme toutes celles du royaume, voulut avoir des drapeaux, et il fut décidé qu'on les bénirait solennellement

S'ils avaient des scrupules pour les péchés d'hier ou ceux qui se feraient demain, ils les compensaient par leur zèle, mettaient aux pieds de Dieu et les douleurs des autres et le petit supplice de voir tant de choses effroyables. Ils comptaient que le ciel, touché de ces offrandes, bénirait leur expédition.

Et cela sans lui faire parjurer ses serments, et cela sans le rendre coupable envers sa mère, car elle bénirait ce mariage, que vous pouvez contracter avec joie... sans honte, sans crime, en restant paisible

Ainsi ce n'était pas lui qui bénirait l'anneau nuptial de Guiche: pas même celui de Mlle de Lahourque. La cérémonie, quant

Cependant les affaires se brouillaient entre le royaume des Deux-Siciles et la France; on parlait d'une croisade contre les républicains; le roi Ferdinand, comme nous l'avons dit ailleurs, voulait en donner l'exemple. On leva des troupes de tous côtés, on assembla une armée, et l'on annonça avec grande solennité que l'archevêque de Naples bénirait les drapeaux dans la cathédrale de Sainte-Claire.

Peut-être, la voulait-il garder pure dans l'espoir qu'un jour, le ciel exauçant ses voeux secrets, il la ramènerait dans sa patrie, ou un ministre de Jésus-Christ bénirait leur union. Car il songeait toujours