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Mis à jour: 26 juin 2025
À cela s'ajoute que nous ignorons de quelle race était Burns. Ceux qui l'ont connu disent qu'il avait les cheveux et les yeux noirs, le teint brun et basané. À lire leur portrait on le prendrait pour un méridional. On a mesuré son crâne et trouvé qu'il était un peu au-dessus de la moyenne. Tout cela n'a rien de scientifique, ne mène
Tandis que Clarinda voyageait ainsi, le chagrin de Burns, dans les heures où il pensait
The Scottish Gaels, tom. Burns avait un sens très profond de ces airs, et on verra qu'il avait saisi ce double caractère de tristesse et de vivacité qui permet l'une ou l'autre expression, par un simple changement de mesure. «Que nos airs nationaux conservent leurs traits naturels.
Ici s'intercale un des plus étranges et des plus mystérieux épisodes de la vie de Burns, celui de Highland Mary, de Mary des Hautes-Terres. Il resta longtemps ignoré. Burns, de son vivant, n'en parla jamais qu'avec réserve et l'entoura d'une sorte de silence. Quand il fut forcé d'en dire quelques mots,
«M. Burns, vous avez fait un choix de poète et non de fermier», lui dit le père d'Allan Cunningham, en apprenant qu'il s'était décidé pour Ellisland, la plus jolie et la plus ingrate des trois fermes qui lui avaient été offertes . Ellisland est, en effet, dans une position charmante sur la côte méridionale de la Nith. «La ferme, disait Burns lui-même, est admirablement située sur les bords de la Nith, large cours d'eau qui passe par Dumfries et se jette dans le Solway-Frith .» À cet endroit, la Nith est une sinueuse rivière, limpide et rapide, dont l'épaisseur ne suffît pas
Il est bien vrai cependant que la poésie et l'amour se tenaient dans le coeur de Burns. Cette seconde aventure lui fournit le thème d'une chanson qui,
Burns, on le voit, était sorti enchanté de sa rencontre. On aime
Ce qui frappe tout d'abord dans l'humour de Burns, c'est la gaîté, et ce n'est pas de la gaîté
C'est dans cette édition que se trouve la biographie de Burns par JOSIAH WALKER. Celui-ci, on l'a vu dans la biographie, avait beaucoup connu et admiré Burns; ses souvenirs, a tout prendre, très exacts et très justes, restent un des documents les plus précieux sur le poète.
Celle-ci est une réimpression de l'édition de 1840. Allan Cunningham a laissé, sur le séjour de Burns
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