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Mis à jour: 5 mai 2025
Bryan, pénétré de la plus vive reconnaissance, accepta, comme on le pense bien, la proposition de son compatriote, et ne trouva pas de paroles assez fortes
Bryan s'était adjoint deux domestiques canadiens, et n'attendait qu'une occasion favorable pour expédier
Dès que le vacarme eut cessé, le guerrier qui avait fait Patrice prisonnier (c'était un homme d'une cinquantaine d'années) prit la parole, et, s'adressant au fils de Bryan, lui demanda en iroquois pourquoi il n'avait pas suivi les siens. Comme Patrice parlait tant bien que mal la langue des Ottawas, qui était celle de la tribu du chef indien ami de son père, et que l'iroquois ressemble beaucoup
Ce chef ayant déclaré hautement qu'il considérerait comme une injure personnelle le moindre acte d'hostilité ou de déprédation qu'on se permettrait contre Bryan et ses propriétés, il en était résulté que notre pionnier n'avait jamais été inquiété par les Indiens, qui, en maintes circonstances, lui avaient, au contraire, rendu une foule de petits services.
Bryan, qui savait combien en pareille circonstance il était plus sage pour lui de se fier
Dans cette seconde entrevue avec son compatriote, Bryan acquit de nouvelles preuves de l'excellent coeur et du désir d'obliger qui constituaient le fond du caractère de ce digne homme; car voici ce qu'il lui dit après que le traité eut été signé avec toutes les formalités usitées en pareil cas: «Vous m'aviez hier exposé vos ressources en argent; elles sont insuffisantes pour vous rendre
Bryan, comme vous le pensez bien, accepta avec autant d'empressement que de reconnaissance l'offre de son ami ottawa. Celui-ci dirigea l'expédition avec tant de prudence et de sagacité, que la petite bande rejoignit les Iroquois, et les suivit
Il y avait trois ans que la famille Bryan était établie
L'employé ne se fut pas plutôt éloigné que Bryan se mit bravement
Telle était la situation de la famille Bryan, quand un matin,
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