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Mis à jour: 5 juin 2025
En face de tant d'œuvres variées, inégales, mais généralement bien en chair, qui, toutes, celles des Wallons comme celles des Flamands, chantent la vie, âpre ou facile, dévergondée ou raffinée, qui, toutes, honorent l'effort et la lutte, s'estompe misérablement la silhouette falote d'un roman dont la séduction morbide conquit Paris jadis, Bruges-la-Morte, par Georges Rodenbach.
Paris, La Renaissance du livre, 1910. Bruges-la-Morte. Paris, Flammarion, 2 col. par page; grav. hors texte, couverture illustrée, 1910. Le Lys. Bruxelles. Lacomblez, 1888. Le Don d'Enfance. Bruxelles, Lacomblez, 1891. Un Chant dans l'Ombre. Bruxelles, Lacomblez, 1895. Poèmes Ingénus. Paris, Fischbacher, 1899. La Solitude Heureuse. Bruxelles, Dechenne, 1904. Poèmes. Paris, Mercure de France, 1908.
Et je reste tout seul, dans le désert versicolore de l'Exposition, parmi les vues de Venise et de Bruges-la-Morte. Faut-il que ces deux cités aient offensé le Ciel, pour être ainsi livrées aux peintres. Silencieux marais de Bruges, où se mirent, avec de pâles arbres, mainte façade bien retapée; et vous, canaux vénitiens, où trempent des mirlitons,
Bruges était sa morte. Et sa morte était Bruges. Tout s'unifiait en une destinée pareille. C'était Bruges-la-Morte, elle-même mise au tombeau de ses quais de pierre, avec les artères froidies de ses canaux, quand avait cessé d'y battre la grande pulsation de la mer.
La ville d'autrefois, cette Bruges-la-Morte, dont il semblait aussi le veuf, ne l'effleurait plus qu'
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