Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 22 juin 2025
Brudersweibchen, süsses schönes Täubchen! Bowring traduisit littéralement: Brothers wife! thou sweet and lovely dovelet !
Ce qu'il y a de plus amusant dans cette histoire, c'est que, le 4 septembre 1828, Bowring écrivait
M. Bowring était un amateur d'autographes et, comme la plupart des Anglais, entretenait une correspondance énorme. Il accablait de ses lettres tous les grands hommes du jour. «Les injures anonymes et signées pleuvent de tous côtés, écrivait Lamennais, dans une lettre
«Deux mois après la publication de la Guzla, M. Bowring, auteur d'une anthologie slave, m'écrivit pour me demander les vers originaux que j'avais si bien traduits.»
Bowring était entré en relations avec plusieurs philologues slaves distingués: Dobrowsky, Kopitar, Hanka, Karadjitch. Mais dès qu'il eut publié quelques articles en anglais, on comprit qu'il n'était pas aussi savant qu'on l'eût imaginé. Le 26 juillet 1828, Kopitar écrivait
Aujourd'hui, l'histoire de la Guzla intéresse plus que les poèmes qu'elle contient; on la connaît surtout par les anecdotes qui s'y rapportent; quand on parle du Mérimée des premières années, c'est pour raconter l'histoire du docteur allemand «qui avait découvert le mètre de l'original serbe sous sa prose», ou pour dire que le «savant anglais» M. Bowring s'y était laissé prendre, ou pour plaisanter enfin sur ce naïf Pouchkine qui traduisit en russe quelques historiettes de la Guzla.
John Bowring était un polyglotte réputé et si son nom n'est pas encore oublié, c'est surtout
«Cet instrument est celui dont fait mention M. Bowring dans son introduction
Mot du Jour
D'autres à la Recherche