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Mis à jour: 5 juillet 2025
L'aperçu que je vous adresse, citoyen général, est susceptible d'être modifié même avantageusement dans quelques jours de plus, quoique les dysenteries nous fournissent dans ce moment beaucoup de malades. Cette note est concertée avec le citoyen Boussenard, chirurgien de première classe, faisant fonctions de chirurgien en chef. Signé R. DESGENETTES.
Je répondis le 25 au citoyen S.-Ours, et je finissais en lui disant que, manquant comme lui de cantharides, j'avais substitué quelques gouttes d'eau bouillante versées de haut: en effet ce moyen m'avait réussi sur un grand nombre de malades, notamment sur le citoyen Boussenard, dont il est parlé ci-dessus page 50, et plus récemment encore au premier moment de l'invasion sur un garde-magasin, et un officier d'artillerie, qui se promenaient librement au bout de deux jours.
Je reçus le même jour une lettre du citoyen Boussenard, chirurgien de première classe, chargé du service de la division Reynier et de l'hôpital de Ramléh, qui m'annonçait qu'il venait de paraître dans la division, et plus particulièrement dans la neuvième demi-brigade de ligne, une maladie, dont les symptômes étaient une grande douleur de tête, lassitude extrême, sécrétions éteintes, la langue enduite d'un limon jaunâtre, envie de vomir, une tumeur dans les aines ou sous les aisselles, souvent le délire. Cet officier de santé ajoutait qu'il donnait d'abord des vomitifs, qu'il entretenait ensuite la liberté du ventre avec la décoction de tamarins, qu'il donnait du café et du quinquina mêlés ensemble, du camphre
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