Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 21 juin 2025


J'appris par Bouldouyr qu'il était d'une taille démesurée, qu'il marchait en vacillant un peu, comme si une tête trop lourde, sur son long corps maigre, allait l'emporter

Vous la reconnaissez, me dit Bouldouyr, c'est Françoise... Et ici encore, je ne me plaindrai pas de la vie, j'ai connu, monsieur, la royauté de l'esprit, j'ai connu la beauté d'une amitié inaltérable, et je connais maintenant le miracle de ce monde: la tendresse unie

Nous nous levions de table; Bouldouyr s'appuya lourdement sur mon bras, et nous vînmes ensemble jusqu'

Ces regrets et ces remords me troublaient dans mon sommeil. J'y revoyais mes chers disparus. Tantôt Valère Bouldouyr m'apparaissait dans son gros paletot de bure marron; il tenait par la bride un Pégase tout blanc et me disait: Venez-vous avec moi Salerne? Je vais vous conduire

M. Bouldouyr fut atterré? On la séquestre, criait-il, pourquoi? Est-ce

Seul, le vieux violoniste semblait ne se douter de rien et riait aux anges. Bouldouyr l'appelait Pizzicato, et je ne lui ai jamais connu un autre nom. Allons, Pizzicato, mon ami, donnez-moi votre verre que je le remplisse. Vous ne buvez rien...

Jamais cela ne me parut plus évident que certain soir, Valère Bouldouyr me demanda de dîner avec sa nièce. Comme nous étions tous les trois seuls, il s'abandonna librement

Bouldouyr se doutait-il, lui aussi, que c'était la dernière fois? Et je le revois, lui-même, avec sa robe de chambre bariolée et ses larges conserves d'écaille, son air de magicien et de bourgeois de Chardin, et je revois le petit musicien italien, zézayant et timide, tout basané sous ses cheveux blancs, et nous tous, enfin... On dansa peu; il faisait chaud.

J'ai vos livres dans ma bibliothèque, monsieur Bouldouyr, dis-je avec assurance, et je les admire beaucoup.

Je m'assis dans un fauteuil, je relus les vers de Valère Bouldouyr, je relus ceux de Justin Nérac. Je me disais que je demeurais sans doute le seul être au monde qui cherchât encore une ombre de poésie dans ces opuscules démodés, et cela me serrait le coeur. Je tombai sur cette strophe: Bals, ô feuilles de jade, ô bosquets de santal, Vos torches, vos flambeaux n'éclairent que des ombres, Et je gémis, errant

Mot du Jour

trimmel

D'autres à la Recherche