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Quoi! s'écria Marcof stupéfait, le roi abandonne sa propre cause? Il quitte Paris, il quitte la France peut-être? Telle était son intention effectivement, dit le comte de La Bourdonnaie; car M. de Bouillé,

De son côté, M. de Bouillé échelonnait des détachements sur la route qui conduit de Montmédy

Cette victoire répandit une joie générale, et calma les craintes qu'on avait conçues pour la tranquillité du royaume. Bouillé reçut du roi et de l'assemblée des félicitations et des éloges. Plus tard on le calomnia, et on accusa sa conduite de cruauté.

Le général marquis de Bouillé, qui ne pouvait se consoler d'avoir été impuissant

Bouillé ne fut pas plus heureux, quand il demanda pour le comte de Provence un rang d'honneur auprès des souverains alliés et le titre de lieutenant général du royaume. Cette satisfaction lui fut également refusée. On se sépara sans avoir rien décidé, sinon que les émigrés seraient admis

Rue d'Anjou. Au 6 est mort La Fayette le 20 mai 1834. Au 15 est mort Benjamin Constant. Au 19 a demeuré l'ex-capucin Chabot, qui périt avec Danton. Au 27 était l'hôtel du marquis de Bouillé, si célèbre par la fuite de Louis XVI; il fut ensuite habité par l'abbé Morellet et par le marquis d'Aligre. Au 28 était la maison de Moreau, qui, après le jugement de ce général, fut achetée par Napoléon et donnée par lui

Consultons l'expérience: sur cent accusations intentées par l'Assemblée nationale elle-même contre des citoyens, 99 sont restées sans preuves. Si M. Bouillé eût été dénoncé comme un homme méditant des projets contre la patrie, le citoyen clairvoyant et zélé, qui en eût découvert les indices sans en découvrir encore les preuves juridiques, n'eût-il pas passé pour calomniateur? Pour appuyer la vérité de cette observation, je rappellerai l'engouement général excité en faveur du patriotisme et du zèle de cet officier, les éloges qui lui ont été prodigués par l'intrigue et les remercîments même surpris

Elle avait aussi pour objet de demander justice et vengeance contre les arrestations et les emprisonnements illégaux des soldats du régiment ci-devant du Roi, qui avaient mérité l'animadversion de La Fayette pour leur conduite, sous le commandement de son cousin Bouillé, aux journées sanglantes de Nancy. On doit donc s'attendre de voir ici La Fayette en grande opposition avec cette pétition.

Le marquis de Bouillé dit, dans ses Mémoires, que l'opiniâtreté de madame de Tourzel

M. de Bouillé, débarrassé de la crainte de compromettre la vie de M. de Malseigne, marcha le lendemain sur Nancy. Un régiment suisse Salis-Samade formait l'avant-garde. En approchant de la porte, constituée par un simple arc avec une grille, la troupe de tête aperçut une compagnie du régiment du Roi qui gardait une pièce de canon placée au milieu de la porte. En avant se tenait un jeune officier criant aux siens: «Ne tirez pas», et faisant signe qu'il voulait parler. M. de La Tour du Pin s'avança. Mais, au même instant, les soldats insurgés tirèrent, et les canonniers mirent le feu