Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 2 mai 2025


Cette édition contient la vie de Burns par JAMES HOGG. C'était ce jeune berger qui grandissait dans la vallée d'Ettrick, au moment Burns faisait son voyage des Borders. Il était devenu maintenant célèbre. Le chapitre II du Memoir sur Burns, intitulé On the Peasantry of Scotland, donne bien l'idée de la poésie qui vivait dans le peuple.

Dans un pays si longtemps agité par la guerre étrangère et déchiré par les guerres civiles, les rivalités des clans et les pillages réciproques couvraient la campagne de combats et ensanglantaient les moindres ruisseaux, il n'est pas étonnant que ces complaintes aient surgi de toutes parts. Les Borders surtout, avec leurs luttes incessantes, leur état de guerre continuelle, leurs surprises, leurs razzias, en ont fourni le plus grand nombre. Mais d'autres grands faits historiques s'y retrouvent conservés. Les invasions des Norvégiens , la résistance des outlaws réfugiés dans les bois , les luttes entre les gens des Basses-Terres et les Highlanders , les croisades , les luttes de l'indépendance contre les Anglais , les aventures de Marie Stuart , ont laissé des échos lointains, et donné naissance

Après avoir parcouru le pays des Borders, il se dirigea vers l'ouest en suivant la frontière sur le sol anglais, il traversa Carlisle et arriva

Carlyle. C'est par la poésie et le paysage des Borders que ce grand garçon, déj

Ainsi, au moment même Burns visitait les Borders, il y avait l

Les passages sur les Borders, dans les Notices and Anecdotes illustrative of Sir Walter Scott's novels. Le petit opuscule intitulé: An Account of the Borders dans le Chambers's Miscellany. Le chapitre IX du livre de Veitch: Features of Border Life and Character. Un article de l'Edinburgh Review, de Juillet 1887: Ettrick Forest and the Yarrow. Gunnyon: Scottish Life and History in Song and Ballad.

Par ses formes plus vastes, ses mouvements plus marqués, ses accidents de terrain plus variés et plus dramatiques, la contrée des Hautes-Terres est mieux faite pour frapper le voyageur qui la traverse que les régions moyennes des Borders. Elle peut plutôt prendre par surprise et transporter du premier coup.

Les paysages que Burns a compris ne sont pas si grandioses. Ce sont ceux des Lowlands, et, dans ceux-ci encore, il faut faire un choix. Il n'a pas touché aux Borders,

Il est évident que cette observation intérieure l'attirait plus que toute autre. Partout et toujours, il cherchait le personnage humain. C'était presque la seule chose qu'il notât. Dans ses voyages, il est moins frappé par l'aspect pittoresque du pays ou même par les souvenirs historiques que par les caractères qu'il rencontre. Les journaux de ses tours sur les Borders et dans les Highlands se composent presque uniquement de remarques sur les personnes, et de courtes esquisses de caractères tracées en quelques mots. On trouve constamment des notes comme celles-ci: «Le vieux M. Ainslie, un caractère peu commun; ses manies: l'agriculture, la physique et la politique ». «Un M. Dudgeon, poète

History and Poetry of the Scottish Borders, chap. C'est par ailleurs qu'il faut aller pour suivre ce filon de poésie nationale. On sent qu'il se prolonge sous le sol. Ç

Mot du Jour

simoniaque

D'autres à la Recherche