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Mis à jour: 10 juin 2025


Cette chapelle fut longtemps desservie par un bonze, et tous les ans,

Un bonze attendait gravement, près de l'appareil, les dévots et surtout le prix des dévotions.

Le bonze, contrarié de la mauvaise tournure que prenaient les choses, essaya tout d'abord de ramener le turbulent disciple par des remontrances amicales et de paternels conseils. Benké écoutait en silence, promettait de se corriger et n'en faisait rien.

J'appris, ce premier soir, qu'elle se nommait Inamoto, qu'elle était fille du bonze, ou du simple gardien peut-être, de certaine grande pagode, dont j'apercevais, cinquante mètres plus bas,

A l'entrée du temple, un vieux bonze nous a accueillis aimablement. Les boys avaient installé nos lits dans les diverses chambres de la pagode et servi des rafraîchissements dans une des cours ombragées et fleuries, près d'une source au réjouissant murmure, dans laquelle étaient plongées, jusqu'au goulot, de nombreuses bouteilles aux formes variées.

Kin-Fo suivit cette avenue d'un pas plus rapide encore. Un petit temple en fermait l'extrémité. Derrière, s'élevait un «tumulus», haut comme une colline. Sous ce tertre reposait Rong- Ou, le bonze devenu empereur, l'un de ces hardis patriotes qui, cinq siècles auparavant, avaient lutté contre la domination étrangère.

Benshô avait une sœur qui répondait au doux nom de Sammi. Elle était d'une piété angélique, d'une douceur proverbiale, et point bavarde du tout, qualités qui, soit dit en passant, se rencontrent rarement chez une sœur de bonze. Cette brave fille, qui n'avait pas d'enfants, éprouva pour son neveu autant de sympathie et d'affection, que son frère lui portait d'antipathie et de haine.

Bien plus parlant encore m'apparaît ce maigre personnage de bonze noir, le «Porteur de dépêchesqui, son bâton horizontal sur le dos,

Musashibo Benké était, s'il faut en croire certains chroniqueurs, le troisième fils du bonze Benshô, prieur de l'antique et célèbre monastère de Gonguen. D'aucuns disent pourtant qu'il avait le diable pour père. Les circonstances extraordinaires dont fut accompagnée sa naissance donnent

Déshonorée! reprit Zélide, fondant en larmes; déshonorée! Quel coup! Je n'y puis résister... Ah, maudit bonze! c'est toi qui m'as perdue. J'aimais mon époux; j'étais née vertueuse; je l'aimerais encore, si tu n'avais abusé de ton ministère et de ma confiance. Déshonorée! chère Sophie...»

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