Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 15 novembre 2025
Pour toute réponse, je balbutiai quelques mots de reconnaissance. La vie qu'elle me dépeignait, et où je voyais plus loin qu'elle, me paraissait le bonheur suprême; aussi je doutais qu'elle me fût réservée.
Et pourtant j'ai dix-neuf ans! pensait-elle; c'est l'âge du bonheur, disent tous ces nigauds
Salvator n'avait pas vu la pureté éclatante du bonheur de ces deux amants en son absence. A peine arrivé, il ne voyait, au contraire, que le retour de Karol
Alors, on vit ce spectacle singulier d'un seul homme se défendant contre soixante, par bonheur, mal armés, et faisant bondir son cheval au milieu d'eux comme si son cheval eût eu des ailes. Dix fois, une voie lui fut ouverte et il eût pu fuir, soit par la strada de l'Orticello, soit par la grotta della Marsa, soit par le vico dei Ruffi; mais il semblait ne pas vouloir quitter la partie, évidemment si mauvaise pour lui, tant qu'il n'aurait pas atteint et puni le misérable chef de cette bande d'assassins. Mais, plus libre que lui de ses mouvements, parce qu'il était au milieu de la foule, le beccaïo lui échappait sans cesse, glissant, pour ainsi dire, entre ses mains comme l'anguille entre les mains du pêcheur. Tout
À peu de distance de ce groupe, qui se pavanait dans son bonheur, on pouvait en distinguer un autre, moins brillant sans doute, mais
Que pourrois-je, en effet, pour le bonheur de M. de Valorbe, lorsque je me serois condamnée
Bref, il croit que la philosophie ne peut rien pour le bonheur, même terrestre, des hommes (car le matérialisme les dispense de se contraindre, et le spiritualisme ne peut que le leur conseiller, sans leur en apporter les moyens). Reste donc l'
J'étais heureux d'avoir retrouvé ce vieillard, comme un homme se réjouit, après un demi-siècle, de retrouver dans une bruyère les traces d'un sentier où il a passé dans ses beaux jours, et qu'il croyait effacées pour jamais. Chaque pas de mon cheval, en descendant des montagnes, me découvrait un pan de plus de la vallée, du village, des hameaux enfouis sous les noyers, de mes jardins, de mes vergers, de ma maison; mon oeil s'éblouissait et s'humectait de reconnaissance en reconnaissance. De chaque site, de chaque toit, de chaque arbre, de chaque repli du sol, de chaque golfe de verdure, de chaque clairière illuminée par les rayons rasants du soleil couchant, un éclair, une mémoire, un bonheur, un regret, une figure, jaillissaient de mes yeux et de mon coeur, comme s'ils eussent jailli du pays lui-même. Je me rappelais père, mère, soeurs, enfance, jeunesse, amis de la maison, contemporains de mes jours de joie et de fête, arbres d'affection, sources abritées, animaux chéris, tout ce qui avait jadis peuplé, animé, vivifié, enchanté pour moi ce vallon, ces prairies, ces bois, ces demeures. Je secouais comme un fardeau importun, derrière moi, les années intermédiaires entre le départ et le retour; je rejetais plus loin encore l'idée de m'en séparer pour jamais. J'avais douze ans, j'en avais vingt, j'en avais trente; regards de ma mère, voix de mon père, jeux de mes soeurs, entretiens de mes amis, premières ivresses de ma vie, aboiements de mes chiens, hennissements de mes chevaux, expansions ou recueillements de mon âme tour
Quelle affliction de perdre un pareil trésor, de n'avoir pas su apprécier son bonheur alors qu'il en jouissait! Mille scènes de famille se pressaient maintenant dans son esprit, et, au milieu de tous ses souvenirs, il la revoyait toujours bonne et belle.
Mademoiselle Gillenormand aînée, lui disait son père, je t'avais bien dit que cela t'arriverait. Il resta un moment silencieux et ajouta: Regarde le bonheur des autres.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche