Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 26 octobre 2025
Bonsoir mon ami; il est près de onze heures; allez vous coucher; je vais en faire autant. Coz salua, sortit, et alla rejoindre son ami Boginski, qui attendait avec inquiétude le résultat des reproches hardis de son ami. Quand il sut le retour de Mme Bonbeck et le succès évident de Coz, il fut content et dit, en se frottant les mains: Bon ça! Mâme Bonbeck colère, furieuse, mais pas méchant.
MADAME BONBECK. C'est ton affaire, mets-les où tu voudras, couche-les comme tu pourras, et fais-les marcher rondement. Ils ont de drôles de noms, va; celui-ci s'appelle Boginski, et l'autre, Polonais pur sang, Cozrrrbrrrgrr... je ne sais quoi. Nous l'appellerons Coz pour abréger. L
Simplicie se débarbouilla, $e peigna, se coiffa en moins d'un quart d'heure. Elle acheva de s'habiller, et elle finissait sa prière, lorsque la porte s'ouvrit avec violence, et Mme Bonbeck parut: Quelle diable d'habitude avez-vous l
MADAME BONBECK. Il n'y a pas de mais. Tu as chagriné cette bonne fille, qui se dévoue
Pauvre garçon! dit Mme Bonbeck touchée de cette dernière phrase. Coz, allez nous chercher le plat de viande. Coz se précipita, disparut et revint presque immédiatement apportant un grand plat de boeuf aux oignons. Mme Bonbeck donna chacun une part suffisante. Portez
Je les enverrai avec la bonne et fidèle Prudence; Simplicie ira chez ma soeur, Mme Bonbeck,
MADAME BONBECK. Si c'est pour porter un uniforme, je te ferai recevoir dans les enfants de troupe, grand nigaud; tu aurais bien par-ci par-l
Boginski criait, appelait, frappait; Mme Bonbeck riait, jurait et se frottait les mains. La malheureuse Simplicie, consternée, pâle comme une morte, tremblant de tous ses membres, n'osait ni répondre aux cris de Boginski ni faire un mouvement. Mme Bonbeck la regardait avec un rire moqueur; elle se plaça devant elle, les bras croisés; Simplicie recula jusqu'au mur, sa tante la suivit jusqu'
Tâche d'avoir une volonté, sans quoi je t'en donnerai avec le fouet de l'amour des chiens et l'amour des chats. Simplicie frémit et regarda sa tante avec terreur. MADAME BONBECK. Et toi. Innocent, n'as-tu pas une volonté? INNOCENT. Si, ma tante. Je veux entrer en pension. MADAME BONBECK. Pour quoi faire, imbécile? Pour crever d'ennui?
Quelques jours se passèrent dans les mêmes sentiments de bonheur; la campagne apparaissait aux enfants sous un aspect nouveau et charmant Ils ne comprenaient pas comment ils avaient pu désirer de quitter la vie tranquille, heureuse, utile de la campagne, pour l'agitation, les ennuis, l'isolement de Paris. Ils faisaient de Paris, de la pension, de la tante Bonbeck, une peinture si affreuse, que M. et Mme Gargilier en riaient malgré eux. Prudence ne cessait de faire l'éloge des Polonais, surtout de Coz, et déclarait que sans lui ils eussent tous péri dix fois. Coz travaillait comme un nègre, se mettait
Mot du Jour
D'autres à la Recherche