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Mis à jour: 31 mai 2025
Quand il nomme les Topiques de Boèce, il peut désigner trois écrits: la version des Topiques d'Aristote, les Commentaires sur ceux de Cicéron, le Traité des Différences topiques. Il s'agit, je crois, du dernier ouvrage; c'est celui qu'il paraît avoir suivi en composant ce qu'il appelle aussi ses Topiques. Mais quelques passages prouvent que ceux de Cicéron ne lui étaient pas inconnus.
«Ils disent, eux, que Boèce n'a point parlé de toutes les divisions suivant l'accident, mais des régulières; si vous leur demandez quelles sont les régulières, ils répondent: celles auxquelles la règle s'applique. Voyez quelle est leur impudence! lorsque l'autorité dit si clairement, en parlant des divisions selon l'accident: Celles-ci ont toutes cette règle commune, etc., ils prétendent faussement que cela n'est pas dit universellement. Mais ils ne tiendront pas l
Voyez aussi le livre II de cet ouvrage, c. viii, ix et x. Abélard a bien donné, d'après Boèce, cette théorie de la formation des idées générales; mais il n'a pas soutenu que les genres et les espèces ne fussent rien que ces idées. Sa doctrine est plus subtile et plus scientifique.
[Note 56: Le passage se trouve peu de lignes avant le précédent. On pourrait contester qu'il ait positivement dans l'auteur primitif le sens qui lui est ici donné, et qu'il signifie que les généralités sont des choses. Boèce vient de dire que les objets des conceptions générales diffèrent de ces conceptions, puisque celles-ci représentent ces objets comme s'ils existaient en eux-mêmes, tandis qu'il n'en est rien, et il se fait cette objection: si ces conceptions sont inexactes, elles sont fausses, et alors il est inutile de s'en occuper. Mais il répond qu'il arrive sans cesse
Toutefois, Boèce dit «qu'il est une intelligence qui appartient
"Pour moi, mon fils, rentré dans ma chambre, bien qu'accablé de fatigue, je ne voulus goûter aucun repos avant d'avoir cherché dans le livre de Boèce un endroit approprié
Dante devait bien aussi, ce me semble, connaître de très-près Pythagore par son traducteur et son disciple Boëce. Cela est très-vraisemblable; et quant
Cette fois, Boèce, en bon péripatéticien, décide que les genres et les espèces ne peuvent être en soi. Rien de ce qui est commun
Je suis docteur en théologie, maître ès arts; j'ai assez étudié les moralistes grecs et latins, dont les maximes ont fortifié mon âme dans les vicissitudes de ma vie, et j'ai particulièrement appliqué Boèce, comme un topique, aux maux de l'existence. Et voici près de moi Jacobus Tournebroche, mon élève, qui sait par coeur les sentences de Publius Syrus.
Mais comment accorder tout cela avec les termes de Boèce? En disant nettement que «ces termes se lisent dans un passage où il soutient que les différences ne sont rien, ou que deux opposés sont dans un même, ce qui est faux et ne peut se prouver sans sophisme. Il a donc introduit du faux dans son raisonnement, et cela sans se tromper; car il savait que c'était faux, mais il voulait conduire
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