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Mis à jour: 9 novembre 2025


Des bataillons revenant d'Issy et traversant le boulevard, précédés d'une joyeuse musique, d'un tapage de gaieté, qui fait contraste avec la mine piteuse des hommes, et la prostration dans laquelle ils marchent. Au milieu d'eux marque le pas une femme, le fusil sur l'épaule. Derrière suivent deux voitures pleines de fusils. On dit, dans la foule, que ce sont les fusils des morts et des blessés.

Dis-le, belle sorcière, oh! dis, si tu le sais, A cet esprit comblé d'angoisse Et pareil au mourant qu'écrasent les blessés, Que le sabot du cheval froisse, Dis-le, belle sorcière, oh! dis, si tu le sais, A cet agonisant que le loup déj

Le lendemain, l'ennemi a été poursuivi plusieurs lieues, mais sans qu'on pût reconnaître que sa cavalerie avait battu, en retraite toute la nuit. Le général Suwarow et plusieurs autres officiers ennemis ont été tués. L'ennemi a abandonné un grand nombre de blessés. On en avait ramassé douze cents; on en ramassait

Campagne de Pologne. Bataille d'Eylau. Te Deum et De profundis. Retard involontaire du prince de Ponte-Corvo. Les généraux d'Hautpoult, Corbineau et Boursier blessés

Le général Grouchy, envoyé avec son corps sur la route de Donkovtchina, a trouvé tous les villages remplis de morts et de blessés, et a pris trois ambulances contenant neuf cents blessés. Les cosaques ont surpris

A Mustapha, les tableaux de guerre se précisent. La plaine se jalonne de villages incendiés. De longs convois de chariots chargés de blessés, convergeant vers ce noeud, y produisent un inévitable encombrement, et, quelle que soit l'activité du commandement, un peu de désarroi. Ces véhicules étranges, attelés de boeufs, bâtis

Plusieurs autres gisaient morts ou blessés, embrochés par les faux ou jetés

Dimanche 2 octobre. Aujourd'hui, rien de l'émoi douloureux, de la tristesse de ces deux derniers jours, rien du souvenir des blessés qu'on a vus passer. Le soleil d'un dimanche a tout emporté, et Paris, en gaieté et en joie, se presse

Lauriane et Mercédès s'occupèrent de panser les blessés et de faire souper les enfants.

Les gardes jetèrent leurs hallebardes. Affolés, les survivants, blessés ou non, obéirent, pendant que les prisonniers, sautant sur les hallebardes, les poussaient vivement. Et, alors, on vit ce spectacle exorbitant: un

Mot du Jour

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