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Donc Standard-Island est saine et sauve. Son salut lui a coûté cher, Cyrus Bikerstaff tué au plus fort de l'action, une soixantaine de miliciens et de marins atteints par les balles ou les flèches,

Ainsi que dans les autres, répond Cyrus Bikerstaff, et ici, cependant, vous voyez le type le plus accompli des Océaniennes. N'est-ce pas, d'ailleurs, une loi de nature commune aux races qui se rapprochent de l'état sauvage? N'en est-il pas ainsi du règne animal, la faune, au point de vue de la beauté physique, nous montre presque invariablement les mâles supérieurs aux femelles?

Et ce n'est pas lui, au milieu d'une fusillade plus nourrie que jamais, que la balle d'un snyders est venue frapper sur le balcon central. C'est Cyrus Bikerstaff, qui est atteint en pleine poitrine. Il tombe, il ne peut plus prononcer que quelques paroles étouffées, le sang lui remonte

Cyrus Bikerstaff présente les personnes de sa suite, ses adjoints, le commodore Ethel Simcoë, le commandant de la milice, les divers fonctionnaires, le surintendant des beaux-arts, et les artistes du Quatuor Concertant, qui furent accueillis comme ils devaient l'être par un compatriote.

Le lendemain, Cyrus Bikerstaff reçoit la visite du capitaine Sarol; voici

À travers la foule se propage cette épouvante irraisonnée qui naît d'un danger inconnu... Cyrus Bikerstaff paraît sur le perron de l'hôtel, suivi du commodore Simcoë, du colonel Stewart et des notables qui sont venus les rejoindre.

Cela évitera les conflits d'amour-propre. Si le représentant de la France venait d'abord chez les Coverley, que diraient les Tankerdon, et si c'était chez les Tankerdon, que diraient les Coverley? Cyrus Bikerstaff ne peut que s'applaudir de ce double départ. N'y a-t-il donc pas lieu d'espérer que la rivalité de ces familles prendra fin?... demande Frascolin.

Pendant quarante-huit heures, les uniformes de notre marine se mêlent aux costumes milliardais. Cyrus Bikerstaff fait les honneurs de l'observatoire, le surintendant fait les honneurs du casino et autres établissements sous sa dépendance.

Le lendemain, le gouverneur Cyrus Bikerstaff, ses deux adjoints, quelques notabilités, se font débarquer au port d'Apia. Il s'agit de faire une visite officielle aux résidents d'Allemagne, d'Angleterre et des

La difficulté est tranchée par le commandant-commissaire lui-même. Connaissant la rivalité des deux célèbres milliardaires, il est si parfait de tact, si pétri de correction officielle, il agit avec tant d'adresse diplomatique que les choses se passent comme si elles eussent été réglées par le décret de messidor. Nul doute qu'en pareille occasion, le chef d'un protectorat anglais n'eût mis le feu aux poudres dans le but de servir la politique du Royaume-Uni. Il n'arrive rien de semblable au palais du commandant-commissaire, et Cyrus Bikerstaff, enchanté de l'accueil fait