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Mis à jour: 7 juin 2025
Monsieur Vilbertin, répondit la jeune fille, nous devrions former une société tous les deux; je distribuerais les paroles et vous, les écus.... Une société avec vous?... je vous prends au mot... mais une vraie société que vous n'aurez pas le droit de dissoudre. Une vraie société de bienfaisance. Ouvrez votre bourse, monsieur, payez. Ouvrez votre bouche adorable, mademoiselle, parlez....
Les affaires du notaire Pierro da Vinci étaient prospères. Adroit, gai et débonnaire, il savait s'entendre avec tout le monde. Le clergé particulièrement lui accordait ses faveurs. Devenu fondé de pouvoirs du riche couvent de l'Annonciade et de plusieurs autres oeuvres de bienfaisance, ser Pierro arrondissait sa fortune, achetait des terrains, des maisons, des vignes dans les environs de Vinci, sans rien changer
Ces précautions étaient grandes et nobles, mais n'étaient pas nécessaires. La population de ces heureux climats se laissait aller au courant. Son plus vif sujet de mécontentement n'était pas assez sérieux pour être violent, car il consistait surtout dans le regret de faire partie du même gouvernement que les Piémontais, que les Génois ont toujours détestés. L'antique patriciat, ces vieilles et vénérables familles, qui, sous la république, avaient toujours dans leurs palais la porte ouverte et la table dressée pour la pauvreté, se croyait bien déchu du pouvoir, mais non pas du droit de bienfaisance; et la noblesse génoise se survivait en quelque sorte par ses bonnes actions. Elle venait d'en donner,
Madame de Custine, née le 18 mars 1770, avait, au moment de sa mort, 56 ans. La gravité de sa vie, consacrée depuis longtemps aux oeuvres de bienfaisance, la solitude de ses dernières années, son renoncement aux choses de ce monde, tout donne un démenti aux assertions trop romanesques de ses biographes qui lui font entreprendre son voyage de Suisse pour y poursuivre un amant, auquel elle n'avait plus
Ce grand changement fut complété par un décret qui déclara biens nationaux les biens des fondations soit de religion, soit d'éducation, soit de bienfaisance, c'est-
Il m'en a coûté de prononcer qu'aimer avec passion n'était pas le vrai bonheur; je cherche donc dans les plaisirs indépendants, dans les ressources qu'on trouve en soi, la situation la plus analogue aux jouissances du sentiment; et la vertu, telle que je la conçois, appartient beaucoup au coeur; je l'ai nommée bienfaisance, non dans l'acception très-bornée qu'on donne
«O tombeau de Maâni! toi qui n'étais qu'une fosse creusée dans la terre, tu es maintenant le lit de la bienfaisance. O tombeau de Maâni! comment as-tu pu contenir la libéralité qui remplissait la terre et les mers? Que dis-je, tu as reçu la libéralité, mais morte: si elle eût été vivante, tu aurais été si étroit que tu te serais brisé.
Au nom de l'Administration et du personnel du Bureau de bienfaisance de Lille, j'adresse
Nous allons citer un article des statuts, pour montrer que l'esprit de bienfaisance, qui l'a dicté, est digne d'imitation; et, pour l'honneur de Philadelphie, nous espérons qu'il continuera
La princesse Pauline était celle des soeurs de l'Empereur qui avait le moins de talents, mais ses soeurs étaient bien moins remarquables pour le coeur. Les deux soeurs aînées de la princesse Pauline n'auraient pas donné un centime pour servir l'Empereur, et la princesse Pauline aurait sacrifié sa vie seulement pour lui éviter des chagrins. L'Empereur ne fut pas heureux dans ces (sic) deux soeurs, mais il le fut dans ses trois belles-soeurs, la femme du roi Joseph, la femme du roi Louis, la femme du roi Jérôme, et dans la femme de son fils adoptif, le prince Eugène. La reine d'Espagne, Marie-Julie, fut digne dans la prospérité comme dans l'adversité, et, sur le trône ou dans l'exil, sa vie fut un enchaînement honorable de bonté et de bienfaisance; la reine de Hollande, Hortense, qui se montra supérieure
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