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Ce fut une belle fricassée de museaux, selon l'expression d'Octave, car je ne me permettrais pas de parler ainsi de maris malheureux. Non seulement les deux maris roulèrent et continuèrent leur duel, mais ils entraînèrent dans leur chute le domestique de M. de Biançay et la bougie qu'il portait

Cependant le duc de Parisis et Mme de Biançay s'inquiétaient quelque peu de ce beau tapage. Octave remettait déj

Comme vous avez de beaux cheveux! Il vient un rude vent par cette vitre cassée. Si nous passions dans votre chambre? Ah! M. de Parisis, ayez pitié de moi, car mon mari....» Octave avait entraîné Mme de Biancay qui, déj

Le duc de Parisis salua. M. de Biançay salua. Le duc de Parisis salua une seconde fois. M. de Biançay se demandait s'il devait le saluer d'un coup de pied, mais il se contint et entra chez sa femme. «Ah! mon ami, j'étais bien sûre que vous arriveriez cette nuit, car je vous attendais. Avec le duc de Parisis! Quoi, c'était le duc de Parisis? Ah! par exemple, voil

Mme de Biançay prit un flambeau. «Si vous voulez avoir le droit de revenir, allez-vous-en. Comment, vous mettez

Il n'y avait pas de lumière dans l'antichambre. «Mais, monsieur, je ne vous connais pas, dit le mari du balcon. Et moi, monsieur, je vous connais trop. Vous avez monté un étage de plus parce que j'étais chez moi; vous vous êtes dit sans doute que ma femme monterait chez la baronne de Biançay, car la baronne est indulgente aux actions des autres. Quelles sont vos armes, monsieur? Mes armes! les voil

Quand M. de Parisis, tout fraîchement ganté, apparut portant aussi un bougeoir. Ils se saluèrent tous les deux avec défiance. M. de Biancay connaissait vaguement M. de Parisis, M. de Parisis ne se rappelait pas M. de Biançay. «Monsieur, dit le mari sans trop prendre les airs d'un mari outragé, voulez-vous m'expliquer cette comédie? Monsieur, j'allais vous adresser la même question.

Ce fut le mari de Mme de Biançay. Comme elle l'avait pressenti, il pouvait rentrer cette nuit-l

Mme de Biançay se croisa les bras pour admirer l'impertinence d'Octave. «Monsieur de Parisis, maintenant que je vous ai sauvé de la vengeance du mari, vous n'avez plus rien

Ce qui est certain, c'est que M. de Biançay, suivi d'un domestique qui portait une valise, arriva pour faire une charmante surprise